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Idée. Le problème des services aux pauvres, aux SDF en particulier, n'est pas, comme certains cyniques l'affirment, qu'ils n'aident pas. En réalité, nous savons rarement quels sont les services qui aident réellement. Ce qui signifie que nous devons, d'abord, repenser nos modes d'évaluation. En matière d'hébergement d'urgence ou d'insertion pour les sans-abri, les pouvoirs publics dépensent des milliards, versés principalement aux associations gestionnaires de ces centres. Il pourrait être plus judicieux de verser ces fonds, en argent directement ou sous forme de bons, aux SDF eux-mêmes. Quand des professionnels mettent sur le marché des formations professionnelles ou des psychothérapies, le gouvernement suppose généralement que les clients peuvent eux-mêmes les évalue...
Personnellement je ne donne rien aux associations car elles reçoivent déjà ma part par le biais de mes impôts ; et il en est de leur utilisation comme toutes les autres aides
distribuées sans contrôle. Ras le bol.
Nombre de SDF sont accros à l'alcool et/ou aux drogues. Leur donner des bons de logement en main propre ?
Seulement s'ils sont nominatifs !
Sinon ces bons feront l'objet de trafics et d'abus, l'argent servant finalement à subventioner les addictions.
La naïveté n'est jamais une excuse !
Les subventions aux Associations, nationales, régionales, départementales, municipales, représentent chaque années des dizaines de milliards d'euros, distribués sans compter et sans controle. A charge du contribuable, elles relèvent en général du seul clientélisme politique.