Juppé : Fillon "peut compter sur mon soutien"
Les Républicains de Gironde ont officiellement lancé lundi à Bordeaux la campagne présidentielle de François Fillon, fragilisé par une enquête sur des emplois fictifs présumés de son épouse Penelope, en présence de son ex-rival Alain Juppé.
Alain Juppé a redit son soutien à François Fillon.
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Alain Juppé a redit son soutien à François Fillon. (Sipa Press)
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"Dès le soir du 27 novembre [second tour de la primaire, NDLR], j'ai apporté mon soutien à François Fillon et j'ai tenu cette ligne sans changer depuis lors, et je la tiens aujourd'hui. Il peut compter sur mon soutien", a déclaré Alain Juppé lundi à des journalistes lors d'une brève conférence de presse dans un café voisin de la mairie de Bordeaux.
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"Parler aux Français de ce qui les intéresse vraiment"
Aux côtés de sa première adjointe, Virginie Calmels, qui a intégré l'organigramme de campagne de François Fillon comme conseillère du "Pôle société civile", et du député-maire d'Arcachon Yves Foulon, Alain Juppé - qui préside la fédération des Républicains de Gironde - a évoqué une "campagne difficile" avec "deux objectifs" : "rassembler" et "parler aux Français de ce qui les intéresse vraiment".
Conférence de Presse des @lesRepublicains mobilisés pour la campagne présidentielle en Gironde@Fillon2017_fr #Rassemblement @AvecNFlorian pic.twitter.com/aXCNrdquKG
— Marc Muret (@MarcMuret) 13 février 2017
Le maire de Bordeaux a notamment mis en garde contre le "risque de l'arrivée du Front national au pouvoir", ce qui "serait un désastre pour notre pays". "Il faut donc gagner!", a conclu Alain Juppé.
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"Non c'est non!"
Depuis le déclenchement, fin janvier, de "l'affaire Pénélope" qui met à mal la candidature de François Fillon, son ancien rival n'a pas cessé de répéter publiquement qu'il ne serait pas le candidat du "plan B". Après avoir "clairement et définitivement" exclu une première fois, dès le 27 janvier, d'être un recours dans l'éventualité d'un retrait du candidat Fillon, Alain Juppé ne cesse de répéter depuis lors : "Non c'est non!", en écartant toute hypothèse de recours.
Source: leJDD.fr
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