Fantasques et réalistes, ses fictions crépusculaires se sont illuminées au fil du temps. Le Britannique virtuose confie s’être nourri de Shakespeare pour son dernier roman, “Dans une coque de noix”. Et nous éclaire sur la vocation de l’écrivain.
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Publié le 31 mars 2017 à 12h00
Mis à jour le 08 décembre 2020 à 04h01
Lorsqu’il parle de sa « double vie », Ian McEwan ne fait pas allusion à quelque inavouable secret. Non, il évoque l’activité de scénariste qui l’occupe intensément depuis les années 70, parallèlement à ses romans. Ce jour de mars, si l’écrivain est dans sa maison du centre de Londres plutôt que dans celle du Gloucestershire, sa résidence principale depuis trois ans, c’est que deux longs métrages, adaptés par ses soins de ses romans Sur la plage de Chesil et L’Intérêt de l’enfant, sont actuellement en postproduction dans la capitale britannique. « Ces temps-ci, celle que j’appelle mon “autre vie’’ tend donc à prendre toute la place. Et ce n’est pas fini,
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