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Whirlpool : une journée marquée par le duel autour de l'usine d'Amiens

Les candidats au second tour de la présidentielle se sont succédé auprès des salariés menacés par le chômage pour défendre deux visions de la France.

Par

Marine Le Pen et Emmanuel Macron se sont rendus à Amiens.
Marine Le Pen et Emmanuel Macron se sont rendus à Amiens. © AFP

Ce qu'il faut retenir :

- « Ensemble, la France » et « Choisir la France » : Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont dévoilé leur nouvelle affiche et leur nouveau slogan de campagne pour le second tour.

- La campagne d'entre-deux-tours s'est déplacée à Amiens sur le site Whirlpool. Marine Le Pen a surpris en se rendant sur le site, où elle a passé une vingtaine de minutes avec les salariés. Le candidat d'En marche !, qui a rencontré l'intersyndicale du site dans la matinée, a tenté d'aller à la rencontre de salariés dans l'après-midi, mais a reçu un accueil agité avant de miser sur la pédagogie pour calmer les salariés présents sur le site. Une bataille de la Somme qui pourrait avoir un impact dans une campagne de second tour à couteaux tirés.

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Folle journée autour de l'usine Whirlpool d'Amiens

      Finalement, Emmanuel Macron s'est bien rendu à l'usine Whirlpool d'Amiens sur les talons de Marine Le Pen. Cette journée sera-t-elle l'un des tournants de la campagne ? Lire notre article .      


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Emmanuel Macron en meeting à Arras

      Le candidat d'En marche ! termine cette journée mouvementée par un meeting à Arras. Peu avant de rejoindre la scène, Emmanuel Macron a dénoncé au micro de BFM TV le "coup de communication de Marine Le Pen". "Qui a décidé de venir à Amiens ?" a-t-il déclaré. Le tempo, c'est moi qui vais le donner maintenant. Je n'ai jamais pensé que c'était facile, je me bats depuis le début. Je ne suis pas l'héritier d'un grand parti." Emmanuel Macron a aussi rappelé que la France vivait "un moment de bascule".      


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Xavier Bertrand appelle à voter pour Emmanuel Macron "sans état d'âme"

      Le président du conseil régional des Hauts-de-France s'est montré très clair sur le plateau du 20 heures de France 2. "On est en train de s'habituer à avoir un Front national en finale, a déploré Xavier Betrand. Je dis à ma famille politique : ce qui est notre responsabilité, notre devoir, c'est de faire barrage à l'extrême droite." Pour Xavier Bertrand, certains dans sa propre famille politique ne s'engagent pas assez : "On ne peut pas pas dire on ne votera pas pour Mme Le Pen, parce que ça ne suffit pas. (...) Je le dis clairement : il faut voter pour M. Macron."
LIRE aussi :  Xavier Bertrand : "Il faut tout faire pour que le score du FN soit le plus bas possible"       


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Chômage en forte hausse, Le Pen accuse Macron

      
Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A sans aucune activité a progressé de 1,3 %. Sur trois mois, la hausse est de 41 000 personnes. Une hausse qui a été très rapidement commentée par Marine Le Pen sur Twitter, qui en attribue la responsabilité à Emmanuel Macron. 


      


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"Il y a une bataille, les Français souhaitent que cette bataille soit menée jusqu'au bout"

      La campagne de premier tour a déboussolé les électeurs de Marine Le Pen, dont le score n'était pas à la hauteur des attentes de ses partisans. Mais son début de campagne de second tour est jugé réussi par plus de six Français sur dix (61 %), une petite majorité (52 %) estimant celui d'Emmanuel Macron raté, selon un sondage Harris interactive. Alors que cette bataille s'est déportée à l'usine de Whirlpool d'Amiens, le président de Conseil, analyses et perspectives (CAP) Stéphane Rozès analyse les nouveaux départs des deux finalistes de la présidentielle. 
LIRE  Stéphane Rozès : "Macron ne doit pas enjamber la présidentielle"       


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Emmanuel Macron s'arrête boire des bières

      Après sa visite musclée à l'usine Whirlpool d'Amiens, le candidat d'En marche ! a fait un arrêt surprise au café de la Place à Bully-Les-Mines avant de partir en meeting à Arras. 



      


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Pierre Lellouche se retire de la vie politique

      
Après la mise en examen de François Fillon, il avait appelé le candidat à se retirer. Ce mercredi, c'est lui qui décide de quitter la vie politique. Le député Les Républicains de la 1re circonscription de Paris Pierre Lellouche a annoncé dans un communiqué qu'il ne se présenterait pas aux prochaines élections législatives et qu'il se retirait de la vie politique. "J'ai la conviction que le moment est venu pour moi de laisser la place à la génération suivante", a déclaré le député aujourd'hui âgé de 66 ans. 


      


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Macron facile vainqueur au second tour

      Emmanuel Macron serait largement élu chef de l'État le 7 mai prochain face à sa rivale du second tour Marine Le Pen, selon un sondage Ifop-Fiducial publié ce mercredi. Le candidat d'En marche ! est crédité de 60,5 % des intentions de vote contre 39,5 % à la candidate du FN, selon ce sondage réalisé pour Paris Match, CNews et Sud Radio. Cette enquête a été menée entre le soir du 23 avril, c'est-à-dire une fois connus les noms des deux finalistes du second tour de l'élection présidentielle, et mercredi.      


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Lang interpelle Mélenchon

      "Ta parole est forte. Tu es un homme de courage, de responsabilité et de vérité. La République a besoin d'une claire décision de ta part, qui se place à la hauteur du succès que tu as remporté. Nous sommes nombreux, à gauche, à espérer ce choix", écrit Jack Lang à Jean-Luc Mélenchon. Assurant avoir "bien compris" ses "réticences" à voter pour le candidat d'En marche !, Lang estime qu'"aujourd'hui une étape est franchie : Emmanuel Macron, homme de talent et de conviction, est le seul rempart face aux risques d'élection de Marine Le Pen." Selon l'ancien ministre de la Culture, il est "impossible aujourd'hui de dire, comme Jacques Duclos à la présidentielle de 1969 (...) : entre Pompidou et Poher, c'est blanc bonnet et bonnet blanc !"      


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Revivez notre Facebook Live sur la stratégie de Marine Le Pen et d'Emmanuel Macron

      Entre-deux-tours, débat du 3 mai, législatives... Emmanuel Berretta, rédacteur en chef du service politique, a répondu aux questions des internautes sur la stratégie des deux candidats ainsi que du PS et des Républicains, balayés au premier tour.


      


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Manifestation contre le FN à Amiens

      Environ 200 personnes, principalement des jeunes, se sont rassemblées à Amiens pour manifester contre le Front national. 




      


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L'appel du pied du FN à Dupont-Aignan

      Nicolas Dupont-Aignan, candidat Debout la France qui n'a pas encore annoncé ses intentions pour le second tour du scrutin, a "vocation à travailler" avec Marine Le Pen, a estimé ce mercredi le vice-président du Front national, Florian Philippot. "On a vocation à travailler ensemble. J'ai écouté attentivement son discours dimanche soir, j'ai trouvé qu'il avait laissé la porte grande ouverte, je m'en réjouis", a indiqué Florian Philippot lors de l'émission Questions d'info LCP-Franceinfo-Le Monde-AFP. "Je crois qu'il fera un choix clair, il l'a annoncé. Et ses électeurs aussi, ses électeurs sont patriotes, ils veulent réguler l'immigration, ils veulent la souveraineté nationale, ils ne veulent pas du projet de Macron qui est l'inverse, qui est la dérégulation totale", a-t-il ajouté, soulignant le "joli score" au premier tour de la présidentielle de Nicolas Dupont-Aignan.      


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Pris à partie, Macron tente le dialogue

      Pendant sa visite mouvementée à l'usine Whirlpool, Emmanuel Macron a démarré un Facebook Live durant lequel il a répondu aux salariés qui l'interpellaient en direct, parfois de manière assez virulente. Il a notamment déclaré face aux grévistes que "la fermeture des frontières était une promesse mensongère" et a assuré qu'il reviendrait "pour rendre compte". 


      


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Ambiance très tendue à l'usine de Whirlpool

      Emmanuel Macron a été accueilli avec des sifflets à son arrivée à l'usine de Whirlpool en début d'après-midi. Il a été pris à partie par de nombreux grévistes. Des militants FN auraient également été aperçus sur place. Plusieurs "Marine présidente" ont également été entendus alors que le candidat essayait de s'approcher des grévistes. Marine Le Pen s'était rendue dans la matinée sur les lieux. Le candidat d'En marche !, qui a rencontré l'intersyndicale du site dans la matinée, a tenté d'aller à la rencontre de salariés, mais a reçu un accueil agité, d'autant que la forêt de caméras empêchait un contact direct


      


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En marche ! vise la majorité absolue aux législatives

      En marche ! vise la majorité absolue aux élections législatives si Emmanuel Macron remporte la présidentielle, a indiqué mercredi Richard Ferrand, secrétaire général du mouvement et député PS du Finistère. "Les Français sont cohérents. Dès l'instant qu'ils décideront d'élire Emmanuel Macron à la présidence de la République, je ne les vois pas, trois semaines après (...), le priver des moyens pour gouverner à l'Assemblée nationale", a-t-il déclaré lors de l'émission Questions d'info LCP-Franceinfo-Le Monde-AFP. A la question "vous visez une majorité absolue pour En marche !" aux législatives de juin ?, Richard Ferrand a répondu "oui".

LIRE aussi Présidentielle : Richard Ferrand, l'un des tout premiers macronistes      


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Christophe Jakubyszyn et Nathalie Saint-Cricq aux commandes du dernier débat

      Puisque le CSA a imposé la parité à TF1 et France 2 pour l'animation du débat de l'entre-deux-tours le 3 mai prochain, Gilles Bouleau et David Pujadas ne seront pas présents. C'est donc Christophe Jakubyszyn et Nathalie Saint-Cricq qui seront aux commandes de ce dernier grand rendez-vous politique avant le deuxième tour du scrutin.       


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Emmanuel Macron se rendra à l'usine Whirlpool cet après-midi

      Le candidat d'En marche ! à la présidentielle a indiqué, après avoir été reçu par les représentants syndicaux de l'usine Whirlpool, qu'il se rendrait à l'usine dans l'après-midi pour rencontrer les salariés. Il a également dénoncé "l'utilisation politique" du conflit social chez Whirlpool par Marine Le Pen. 


      


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Visite-surprise de Marine Le Pen à Whirlpool

      Marine Le Pen a choisi de se rendre à l'usine Whirlpool d'Amiens au moment où son opposant dans la course à l'Élysée rencontrait, lui, des représentants syndicaux de Whirlpool à la chambre de commerce de la ville. "Je suis au milieu des salariés", a assuré la candidate. 




      


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"L'élection de Marine Le Pen et la mise en œuvre de son projet entraîneraient des conséquences très graves"

      
"Je considère que l'élection de Marine Le Pen et la mise en œuvre de son projet entraîneraient des conséquences très graves pour notre pays et pour les Français. Je voterai donc au second tour de l'élection présidentielle pour Emmanuel Macron", a indiqué Nicolas Sarkozy dans un post sur sa page Facebook.

      


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Jean-Luc Mélenchon gardera le mystère sur son vote

      Jean-Luc Mélenchon ne dira à aucun moment avant le 7 mai quel sera son choix personnel de vote au second tour de la présidentielle, quel que soit le résultat de la consultation engagée auprès des militants de La France insoumise. "Dans notre mouvement, il y aura plusieurs opinions", qui seront publiées le 2 mai, a expliqué lors d'une conférence de presse le porte-parole du candidat, Alexis Corbière, mais il faut "faire la différence entre un choix intime et un choix politique".      


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"Choisir la France" : la nouvelle affiche de Marine Le Pen

      Juste après Emmanuel Macron, Marine Le Pen dévoile, elle aussi, sa nouvelle affiche de campagne.




      


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"Ensemble, la France !" : Emmanuel Macron dévoile son affiche de campagne

      À 11 jours du second tour, le candidat d'En marche ! présente sa nouvelle affiche de campagne.


      


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Emmanuel Macron "entre les mains" de l'UOIF

      L'Union des organisations islamiques de France (UOIF) a dénoncé mercredi "un mensonge éhonté" de la candidate du FN Marine Le Pen, qui a accusé son adversaire au second tour de la présidentielle, Emmanuel Macron, d'être "entre les mains" de l'organisation musulmane. Dans un communiqué, l'UOIF, qui doit bientôt être rebaptisée "Musulmans de France", "dénonce ce mensonge éhonté qui revient de façon lancinante". "Nous avons du respect à l'égard de monsieur Emmanuel Macron mais n'avons pas de liens particuliers avec son mouvement", écrit l'organisation, qui "appelle à voter massivement pour monsieur Macron et à faire barrage à la menace incarnée par les idées de madame Le Pen".      


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Second tour : François Hollande demande aux ministres de s'engager pleinement dans la campagne

      François Hollande a demandé mercredi à "tous les ministres" de s'engager "pleinement" dans la campagne pour faire en sorte que la candidate du FN Marine Le Pen fasse "le score le plus bas possible" au second tour de la présidentielle, a rapporté le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. Pendant le conseil des ministres, le chef de l'État a demandé que "tous les ministres s'engagent pleinement dans cette campagne du second tour pour que Marine Le Pen fasse le score le plus bas possible", a indiqué M. Le Foll. "Il est important d'être totalement mobilisé dans cette campagne", a ajouté François Hollande, selon le porte-parole, estimant que, "plus que jamais, il faut refuser la banalisation du Front national".      


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Marine Le Pen pilonne Emmanuel Macron

      Après une réunion à huis clos de son conseil stratégique, Marine Le Pen, qui tient jeudi une réunion publique à Nice, laisse à son directeur de campagne David Rachline, sénateur-maire de Fréjus (Var), le soin de présenter l'affiche et le slogan du second tour lors d'une conférence de presse à la mi-journée. 
Mardi soir, elle a continué de pilonner Emmanuel Macron, son projet "fratricide" et la "guerre sociale éclair" qu'il préparerait par ordonnances sur le droit du travail. "Nous ne voulons pas d'une France totalement soumise", a renchéri mercredi David Rachline en référence aux électeurs "insoumis" de Jean-Luc Mélenchon.


      


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Geoffroy Didier veut "une profonde rénovation" de LR et "l'écoute" de Macron

      Le cofondateur du courant sarkozyste La Droite forte, Geoffroy Didier, qui votera "à titre personnel" pour Emmanuel Macron au second tour de la présidentielle, a déclaré qu'il allait militer pour "une profonde rénovation" de LR et a souhaité "l'écoute" du candidat d'En marche !. "En cohérence avec mon opposition au Front national, je voterai, à titre personnel et comme citoyen, Emmanuel Macron", a annoncé dans un communiqué ce vice-président Les Républicains de la région Île-de-France, alors que son parti a simplement appelé à "voter contre Marine Le Pen". 
 "Au lendemain du second tour, je militerai pour une profonde rénovation de ma famille politique. Sur la forme comme sur le fond. J'y participerai activement, car je crois à la force des mouvements politiques", estime Geoffroy Didier, qui "souhaite qu'une nouvelle génération monte en puissance, celle qui réforme dans les régions et dans les villes". Il estime qu'"Emmanuel Macron, qui court déjà le risque de devenir l'otage du vieux système socialiste, n'ait d'autre choix que d'écouter la nouvelle droite qu'(il) appelle de (ses) vœux".      


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Le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon votera pour Emmanuel Macron

      Le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière, appelle les électeurs de La France insoumise à ne pas apporter "une voix" au Front national, et laisse entendre que lui-même voterait pour le candidat d'En marche ! Emmanuel Macron le 7 mai. "Je profite de votre émission pour dire pas une voix pour le Front national.Ça n'est même pas dans la proposition de consultation que nous faisons, car il est clair que, pour nous, le Front national est un danger pour le monde du travail, parce qu'il ment aux salariés (...) et que chaque fois qu'il y a eu des mobilisations pour les droits sociaux l'extrême droite, elle était là contre nous", déclare-t-il sur LCI. 
"Je suis le porte-parole d'amis, et j'en connais, qui disent : Je n'y arrive pas, Alexis, voter pour celui qui défend la loi Macron, je n'y arrive pas. Et d'autres, tout aussi respectables, qui me disent : Je prendrai ce bulletin Macron en me bouchant le nez parce que je ne veux pas Le Pen. Les deux attitudes sont dignes, sont nobles", a-t-il ajouté. Lui-même a laissé entendre qu'il voterait pour l'ancien ministre de l'Économie au second tour. "Je sais ce que je ferai, ce que j'ai toujours fait d'ailleurs, mais je respecte le fait que des amis ne fassent pas la même chose", affirme Alexis Corbière.      


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Anne Hidalgo : "Mon modèle, c'est la flexisécurité du Danemark"

      À l'heure où le PS est en miettes, la maire de Paris, Anne Hidalgo, jette les bases d'une refondation de la social-démocratie. Son modèle : le Danemark. 
 À LIRE :  Anne Hidalgo : "Mon modèle, c'est la flexisécurité du Danemark"       


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Le destin inachevé de François Fillon

      Gâchis. Sa victoire devait le venger des médias, des juges et de ses ennemis politiques. Son échec fait trembler la droite.
À LIRE :  François Fillon, le destin inachevé


      


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David Rachline : "La présidentielle est un référendum pour ou contre la mondialisation"

      Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFM TV et RMC, David Rachline déclare, à propos de l'Union européenne : "Les Français veulent plus de France et non pas plus d'Europe !" Le directeur de campagne de Marine Le Pen qualifie aussi l'élection présidentielle de "véritable référendum pour ou contre la mondialisation". Pour lui, Emmanuel "Macron est le candidat de l'oligarchie et représente cette mondialisation". 


      


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Le match des programmes santé de Macron et Le Pen

      D'accord sur un "audit" du tiers payant, les deux candidats s'opposent sur tous les autres sujets : l'hôpital, l'aide médicale d'État et l'assurance maladie.
À LIRE :  Santé : le match des programmes


      


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Présence du FN au second tour : le camp Mélenchon tacle Hamon

      Alexis Corbière, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, dénonce "une campagne" de Benoît Hamon qui a "insinué" des choses "indignes" contre le candidat de La France insoumise à la fin de la campagne, et estime que le candidat du PS "a fabriqué Marine Le Pen au deuxième tour". Au vu des résultats serrés entre Marine Le Pen, François Fillon et Jean-Luc Mélenchon au premier tour de la présidentielle, "sans doute, peut-être, 600 000 voix, peut-être des gens qui hésitaient auraient pu venir vers nous plutôt que de perdre leur temps à voter pour le candidat du Parti socialiste", déclare-t-il. Et d'affirmer : "Le Parti socialiste, lui, n'a servi à rien, si ce n'est à nuire à cette campagne."      


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Pour la première fois, la Licra soutient un candidat : Emmanuel Macron

      Pour la première fois de son histoire longue de 90 ans, la Licra soutient un candidat à l'élection présidentielle en appelant à voter pour Emmanuel Macron, a annoncé mardi à l'AFP son président, Alain Jakubowicz, face au "danger bien réel" du Front national. "Nous appelons à voter pour M. Macron et nous sommes à la disposition des équipes de M. Macron pour lui apporter notre savoir-faire, nos connaissances", a affirmé M. Jakubowicz à l'issue d'une réunion spéciale du comité exécutif de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme). L'association a donc "fait le choix de ne pas être dans le ni-ni ou dans l'hypocrisie qui consiste à appeler à voter contre Mme Le Pen, mais très clairement et nommément" de soutenir le candidat d'En marche !, a-t-il ajouté, tout en se disant "extrêmement déçu" par l'entrée d'Emmanuel Macron dans le second tour, car "nous attendions autre chose, un discours rassembleur, qui tende la main aux Français".      


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François Baroin met en garde ceux qui "iraient à la soupe" chez Emmanuel Macron

      "Je n'imagine pas une seconde que des gens de notre famille aillent à la soupe pour un petit poste. Ils se mettront de fait en dehors de notre famille", a déclaré François Baroin. Faisait-il référence à Bruno Le Maire qui a évoqué mardi l'hypothèse de faire partie d'un gouvernement Macron ? "Cette présidentielle étant hors norme, où quelqu'un inconnu il y a deux ans va devenir président de la République, probablement, si les Français en décident ainsi, où les deux partis de gouvernement qui ont dominé la Ve République depuis 1958 sont effacés du premier tour. Je suis absolument convaincu que nous pouvons obtenir une majorité parlementaire qui n'est pas de la sensibilité du futur président", a ajouté François Baroin sur CNews.


      


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La radicalisation des électeurs de Jean-Luc Mélenchon à Toulouse

      Plus de 55 000 Toulousains se sont portés sur le candidat de La France insoumise. Ils comptent bien faire entendre bruyamment leur voix.
À LIRE :
  La radicalisation des électeurs de Jean-Luc Mélenchon à Toulouse       


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Attentat déjoué à Marseille : les meetings des candidats n'auraient pas été ciblés

       Selon une information d'Europe 1, les deux hommes suspectés de préparer un attentat à Marseille ne visaient pas les meetings des candidats à la présidentielle, notamment François Fillon et Marine Le Pen, mais plutôt des "lieux de fête" : bars, pubs, lieux de rassemblement, notamment des bars où se rendaient des "Russes, des Américains ou des Israéliens". Clément B., 23 ans, et Mahiedine M., 29 ans, ont été mis en examen.      


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Présidentielle : un naufrage nommé Hamon

      Il voulait ramener le PS sur sa gauche, mais a manqué sa campagne et n'a pas tenté de rassembler. Mais Benoît Hamon s'est fait dévorer par Jean-Luc Mélenchon. Dimanche soir, le socialiste a fait connaître à son parti sa plus lourde défaite électorale depuis 1969 en ne récoltant que 6,3  % des suffrages. Poussé fin janvier par une victoire qu'il devait autant à ses idées qu'au rejet de Manuel Valls et du quinquennat, le Breton a freiné sa campagne lui-même en passant près d'un mois à concocter un accord avec les Verts et à multiplier les appels du pied à un Jean-Luc Mélenchon qu'il savait déterminé à mener sa barque seul.
À LIRE : 
  Présidentielle : un naufrage nommé Hamon 

  Après le naufrage de Hamon, le PS se cherche un avenir


      


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Xavier Bertrand : "Il faut tout faire pour que le score du FN soit le plus bas possible"

      Dans une interview au Point.fr, le président de la région Hauts-de-France croit au programme Fillon, mais amendé dans un sens plus social, pour remporter les législatives.
À LIRE :  Xavier Bertrand : "Il faut tout faire pour que le score du FN soit le plus bas possible"       


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Macron ou Le Pen, le choix cornélien de Nicolas Dupont-Aignan

      L'enjeu n'a jamais été aussi grand pour le souverainiste, puisqu'il va peser sur sa campagne des législatives, et surtout sur la survie de Debout la France. 
À LIRE :  Macron ou Le Pen, le choix cornélien de Nicolas Dupont-Aignan      


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Les propositions des candidats pour lutter contre le chômage

      Alors que les chiffres du chômage sont attendus ce mercredi après-midi, les deux candidats proposent des mesures différentes. Pour Emmanuel Macron, les salariés démissionnaires pourront bénéficier des allocations chômage, en revanche, les indemnités chômage seront suspendues pour ceux qui refuseraient une offre d'emploi "raisonnable". Le candidat d'En marche ! ne touchera pas aux 35 heures, mais des négociations pourront être ouvertes dans les entreprises afin de défiscaliser les heures supplémentaires. Marine Le Pen, quant à elle, serait pour les 37 ou 39 heures hebdomadaires, mais payées à la hauteur du temps de travail. Elle propose une forme de souverainisme économique et social en taxant les salariés étrangers en CDD ou CDI, pour amener à une préférence nationale à l'embauche. 
À LIRE : 
En plein entre-deux-tours, des chiffres du chômage très attendus
POUR APPROFONDIR :
Emmanuel Macron : un programme économique pour réorienter l'Europe
Marine Le Pen : un programme économique de repli national 


      


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Présidentielle : c'est plié ?

      En 1994, c'était Balladur, en 2016, ce devait être Juppé. Aujourd'hui, on nous assure encore que le 7 mai, c'est dans la poche. Vraiment ?
À LIRE :  Damon - Présidentielle : c'est plié ?      


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Une victoire de Marine Le Pen jugée néfaste par 74 % des cadres

      Une victoire de Marine Le Pen à l'élection présidentielle aurait un impact négatif sur l'activité des entreprises, estiment 74 % des cadres, selon un sondage Viavoice pour HEC, BFM Business et "L'Expansion", publié mercredi. Les cadres posent "un regard totalement divergent" sur les deux candidats, Emmanuel Macron apparaissant comme "une figure particulièrement rassurante" et Marine Le Pen au contraire "anxiogène", soulignent les responsables de ce baromètre mesurant chaque mois le moral des cadres.      


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Christian Estrosi persiste et signe

      Invité sur France Inter ce matin, Christian Estrosi demande à son parti politique "de tirer les conséquences de l'échec qui était le nôtre, avant de pouvoir parler d'un nouveau projet". Il persiste à dire que les membres du parti Les Républicains qui n'appelleraient pas à voter Emmanuel Macron devraient être exclus du parti. "Si Laurent Wauquiez ne dit pas clairement pour qui il votera, je considérerai qu'il aurait dénaturé l'essence même de notre formation politique", précise Christian Estrosi, qui espère que sa famille politique "retrouvera ses fondamentaux".
À LIRE : Républicains : des non-dits qui en disent long


      


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Le FN et les girouettes de la présidentielle

      Quitte à se renier, à tourner le dos aux valeurs qu'ils défendent, ils se refusent à faire barrage à Marine Le Pen au second tour. Une lourde responsabilité. 
À LIRE :  Coignard - La présidentielle, le FN et les girouettes      


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Marine Le Pen en retrait avec son conseil stratégique

      Après un début de campagne du second tour sur les chapeaux de roues, Marine Le Pen sera en retrait ce mercredi, en conclave avec le conseil stratégique de sa campagne, à la veille d'un grand meeting à Nice (Sud-Est), un des bastions de la droite, où l'ancien Premier ministre François Fillon l'avait devancée au premier tour. La candidate du Front national s'est engagée dans une délicate opération visant à séduire à la fois les électeurs du conservateur François Fillon et ceux du tribun de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon. "Je veux rassembler l'ensemble des patriotes, de droite ou de gauche, je ne regarde pas leur vote de premier tour", a-t-elle martelé.
À LIRE : Marine Le Pen visite Rungis et critique le "libre-échange total"       


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Emmanuel Macron en campagne dans le fief de Marine Le Pen

      Après deux jours plutôt discrets, le candidat d'En marche ! a prévu mercredi d'aller faire campagne dans deux fiefs de son adversaire : à l'usine Whirlpool d'Amiens d'abord, dans la Somme (Nord-Est), pour une rencontre avec les salariés d'un site menacé de délocalisation en Pologne, puis à Arras, dans le Pas-de-Calais (Nord). Deux départements où Marine Le Pen est arrivée en tête dimanche. Si Emmanuel Macron a recueilli des ralliements de tous bords depuis dimanche soir pour "faire barrage" à l'extrême droite, il n'a toujours pas obtenu celui de Jean-Luc Mélenchon, qui attend la décision de ses militants. Une certitude : il n'aura pas celui du mouvement anti-mariage gay, la Manif pour tous, proche du candidat de droite battu François Fillon, qui a appelé officiellement appelé mardi à ne pas voter pour lui.
À LIRE :   Manif pour tous : "Macron, c'est non"
      


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Un bon début de campagne pour Marine Le Pen

      Le début de campagne de second tour de Marine Le Pen est jugé réussi par plus de six Français sur dix (61 %), selon cette enquête réalisée pour RMC et Atlantico. Une petite majorité (52 %) estime celui d'Emmanuel Macron raté, selon un sondage Harris Interactive. L'ancien ministre de l'Économie est jugé sévèrement par 43 % des sondés qui lui reprochent d'avoir célébré son score le plaçant en tête du premier tour au restaurant parisien La Rotonde, contre 22 % qui jugent qu'il a eu raison et 35 % qui n'ont pas d'avis.
À LIRE :
Emmanuel Macron : sa nuit à La Rotonde
Richard - Macron, suspends ton vol !
Matzneff - Les orgies de La Rotonde
      


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Ce qu'il faut retenir du deuxième jour de campagne

      Les deux candidats étaient mardi matin à l'hommage national rendu au policier tué jeudi sur les Champs-Élysées. François Hollande a estimé qu'"il n'y a pas eu de prise de conscience de ce qui s'est passé dimanche" avec la qualification de Marine Le Pen pour le second tour de la présidentielle. En réponse, Macron a expliqué sur France 2 n'avoir aucune leçon à recevoir quant au combat à mener contre le FN. Il ne va "pas changer le projet qui est le (s)ien. Invitée d'une nouvelle émission politique proposée par TF1, Élysée 2017, Marine Le Pen a expliqué que les Français avaient le choix "entre deux visions de la société". Selon elle, Macron a "la vision d'un trader de salle de marchés", candidat de "l'oligarchie" et de la "mondialisation sauvage".
À LIRE : ce qu'il faut retenir du deuxième jour de campagne
      


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Ce qu'il faut retenir du lendemain du premier tour

      Marine Le Pen se met en retrait de la présidence du Front national, débats tendus chez les chefs Les Républicains et officialisation des résultats...
À LIRE : ce qu'il faut retenir du "jour d'après"
      


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Commentaires (195)

  • wanadur64

    Pourquoi mettre la photo de David Rachline, dans une info concernant le " tourneur de casaque " de Mélanchon ?

  • papa78

    Moi je me souviens être allé à l'ancien parlement Européen à Strasbourg pour l'anniversaire de la mort de Robert SCHUMANN (1886-1963) l'un des pères de l'Europe, l'auteur du plan de la communauté Européenne du charbon et de l'acier, l'initiateur de la réconciliation Franco-Allemande et qui fut Président du Parlement Européen de 1958 à 1960, ce jour là il y avait beaucoup de monde, pour la France, le garde des sceaux Pierre Méhaignerie, Simone veil, le Président du Sénat POHER, ect... De tous les centristes Européens et du chancelier Allemand Helmut KOHL...
    OUI cette Europe là nous la voulions, mais voter MACRON est une grave erreur, son Europe à lui est floue et surtout elle est lointaine du peuple, MACRON c'est une éponge, il est d'accord avec tout le monde, mais son programme c'est un alignement de mots et de phrases et au bout rien... Sauf une Europe au service de la haute finance et puis avec lui c'est la continuité du massacre HOLLANDE...
    Il à été son conseillé à l'Elysée et son ministre à Bercy, il est co-responsable de la situation catastrophique de notre pays :
    chômeurs 6, 5 millions, 1 jeunes sur 4 de moins de 25 ans est chômeur, 9 millions de nos compatriotes sont pauvres, 3 millions de nos enfants vivent en dessous du seuil de pauvreté, 2 millions de nos jeunes qui sortent de notre système scolaire est sans diplôme et sans formation, un agriculteur se suicide tous les 2 jours, la classe moyenne est en difficulté, nos petites et moyennes entreprises croulent sous les impôts et les taxes de toutes sortes...
    OUI pour moi comme Jean Frédéric POISSON et de beaucoup d'autres de LR, mon vote c'est le NI NI.
    Je suis de droite et non de gauche, je suis certain que notre pays aura besoin d'une oppositions solide, qui propose et impose, et vouloir voter MACRON, c'est de laisser la place dans les 5 ans à venir à l'extrémisme à gauche comme à droite !
    Oui avec MACRON un conflit entre Français est possible !

  • petrio62

    Comme vous je suis ancien du CDS, courant de l'UDF dirigé par P. Méhaignerie et me souvient de ce que Bayrou en a fait, mais je me souviens aussi d'un entretient avec une grande personnalité, Maurice Schuman lors de réunion lors qu'il nous disait qu'il fallait parfois écouter ses adversaires que ses amis, que personne avait toujours raison. En repensant à lui, et parce que nous n'avons plus le choix des armes, je me prépare à voter E. Macron en sachant très bien que ce n'était pas mon premier souhait (déjà à la primaire c'était F. Fillon) mais que, avant de ressasser de vieilles querelles, il faut penser à l'avenir du pays et faire le moins mauvais choix. Ce n'est pas Macron qui nous a piégé, à lui seul il ne pouvait rien, mais tout un tas de mauvaises raisons, la presse aux ordres et de mauvais amis, nous les connaissons.