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Si les dirigeants du G7 sont tombés d'accord sur la lutte contre le terrorisme, le président français Emmanuel Macron n'a rien cédé vendredi, lors du G7 de Taormina en Sicile, aux demandes de la Première ministre britannique Theresa May de négocier un accord commercial entre l'UE et le Royaume-Uni avant le Brexit. Lors de la première réunion bilatérale vendredi entre les deux dirigeants, en marge du G7, Theresa May a répété qu'elle souhaitait que des négociations sur un futur accord commercial entre le Royaume-Uni et l'Europe démarrent dès le début des négociations sur la sortie de son pays de l'Union européenne.
Et ce, sans attendre que soient réglées les questions délicates de la facture financière du Brexit et des droits des expatriés. "Pour le Brexit, je redis clairement qu'au terme du traité européen nous disposons de deux ans pour négocier la sortie et les relations futures avec l'UE. Et quand nous sortirons, il est important que nous sachions non seulement les termes de la sortie mais ce que sera cette relation future y compris commerciale", a-t-elle dit devant la presse.
Elle a aussi "réaffirmé son souhait de clarifier très tôt le statut des citoyens européens dans le Royaume-Uni et vice-versa", a indiqué la délégation britannique. Mais de son côté, Emmanuel Macron s'est borné à indiquer que "l'UE sera unie dans la négociation du Brexit", ce qui signifie, a précisé la délégation française, que la France restera sur la position que partagent les autres pays européens, à savoir d'abord le Brexit, puis après seulement les négociations sur les relations futures entre l'UE et le Royaume-Uni. "Mais la France et le Royaume-Uni continueront d'entretenir des liens étroits dans tous les domaines de coopération économiques, sécuritaires et diplomatiques entre nos deux pays", a ajouté le président français.
Une facture qui fait débat
L'activation, le 29 mars, par le gouvernement britannique de l'article 50 du traité de Lisbonne a officiellement lancé le divorce avec l'UE, ouvrant la voie à deux années de négociations de sortie. En avril, les 27 dirigeants de l'UE ont adopté à l'unanimité les grands principes directeurs qui guideront les négociateurs européens du Brexit au cours des deux prochaines années, illustrant ainsi leur unité revendiquée face au Royaume-Uni.
Début mai, le négociateur en chef de l'UE pour le Brexit, Michel Barnier, avait prévenu que le Brexit ne se ferait pas "rapidement et sans douleur", alors que Londres et Bruxelles se crispent en particulier autour de la facture du départ. Theresa May a par ailleurs tenu une rencontre bilatérale avec Donald Trump, lequel avait déclaré son soutien au Brexit. Selon son porte-parole, les deux leaders "ont réaffirmé leur engagement d'accroître le commerce entre le Royaume-Uni et les États-Unis, dont un accord commercial post-Brexit".
Au lieu de déifier chaque action de Macron, la presse ferait bien de lui mettre la pression sur l'affaire Ferrand, et lui demander pourquoi il n'a pas encore demandé la démission de Ferrand, après les révélations du Canard. Révélations d'autant plus scandaleuses que Ferrand était le premier à de déclarer dans la presse, au moment de l'affaire Fillon, que c'était inacceptable d'embaucher des membres de sa famille. L'arroseur arrosé doit démissionner.
Il faut le "canoniser"... ; c'est un génie, que dis je un Dieu descendu de l'Olympe... D'une force d'esprit extraterrestre... Est d'une poigne égale à celle de Superman... Il a tenu tête... Enfin... Avec sa main à la célèbre poigne de Trump... Je crois même qu'il va sauver notre planète Terre et peut être l'Univers... Bien sûr si on tient compte des éditoriaux de la Presse unanime... Personnellement j'aimerais tout bonnement qu'il me rende mon pouvoir d'achat de cadre à la retraite en baissant les impôts énormes qui me bouffent la vie...
Tous lui obéiront et les bobos seront les sujets de sa " gracieuse majesté manu "