"Beaucoup de bons amis" et "la paix à travers la force": le bilan du premier voyage à l'étranger de Donald Trump

"Beaucoup de bons amis" et "la paix à travers la force": le bilan du premier voyage à l'étranger de Donald Trump

© MANDEL NGAN - AFP

Temps de lecture
Par RTBF avec Agences

Le président des Etats-Unis Donald Trump a quitté samedi après-midi la Sicile, dernière étape de son premier voyage à l'étranger qui l'a aussi mené en Arabie saoudite, en Israël, à Rome et à Bruxelles.

L'avion présidentiel Air Force One a décollé peu avant 18h de la base aérienne de Sigonella où M. Trump s'est exprimé devant des soldats américains.

Des progrès extraordinaires pour promouvoir la sécurité et la prospérité des Etats-Unis

Le président républicain qui n'a participé à aucune conférence de presse tout au long de ses huit jours de déplacement, a vanté "les progrès extraordinaires" accomplis au cours de ce voyage "pour promouvoir la sécurité et la prospérité des Etats-Unis, de nos amis et de nos alliés".

La paix à travers la force. C'est ce que nous allons avoir. Nous allons avoir beaucoup de force et beaucoup de paix

"Nous nous sommes fait beaucoup de bons amis cette semaine", a-t-il ajouté à l'issue du sommet du G7 à Taormina où les discussions ont été houleuses, en particulier sur la question du climat.

"La paix à travers la force. C'est ce que nous allons avoir. Nous allons avoir beaucoup de force et beaucoup de paix", a-t-il encore dit, dans une étonnante formule.

Retraçant les différentes étapes de son voyages, il a une nouvelle fois tempêté, comme il l'avait fait jeudi à Bruxelles, contre les membres de l'Alliance qui ne tiennent pas leurs engagements en termes de dépenses militaires.

Retour dans la tourmente de l'enquête

"C'est injuste pour les contribuables américains", a-t-il martelé. "Nous sommes complètement derrière l'Otan mais nous voulons être traités de manière équitable."

Dès son retour à Washington, le président américain devrait de nouveau être happé dans la tourmente de l'enquête sur les liens présumés entre des membres de son équipe et la Russie.

Selon le Washington Post, Jared Kushner, son gendre et proche conseiller, a demandé début décembre à l'ambassadeur russe à Washington d'établir un canal secret de communication avec le Kremlin. L'exécutif américain s'est jusqu'ici refusé à tout commentaire sur le sujet.

Arrivée de Donald et Melania Trump en Sicile, en prévision du G7

Pour voir ce contenu, connectez-vous gratuitement

Inscrivez-vous aux newsletters de la RTBF

Info, sport, émissions, cinéma... Découvrez l'offre complète des newsletters de nos thématiques et restez informés de nos contenus

Tous les sujets de l'article

Articles recommandés pour vous