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Etats-UnisJimmy Carter volontaire pour aller à Pyongyang

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Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un a promis de nouveaux lancements de missiles au-dessus du Japon. (30 août 2017)
Les Etats-Unis et la Corée du Sud vont reporter leurs manoeuvres aériennes conjointes pour favoriser le dialogue avec la Corée du Nord. (Dimanche 17 novembre 2019)
La Corée du Nord a testé mercredi un «nouveau type» de missile balistique, tiré à partir d'un sous-marin, au lendemain de l'annonce par Pyongyang de discussions de travail samedi sur le nucléaire avec Washington. (2 octobre 2019)

L'ancien président américain Jimmy Carter se dit prêt à se rendre en Corée du Nord afin de tenter d'apaiser les tensions actuelles entre Washington et Pyongyang, sur fond de menace nucléaire.

Dans une interview diffusée dimanche sur le site Internet du journal, l'ancien président démocrate, âgé aujourd'hui de 93 ans, précise en avoir parlé avec le conseiller à la sécurité nationale de l'actuel président Donald Trump, H. R. McMaster.

«Je lui ai dit que j'étais à leur disposition s'ils avaient besoin de moi», a ajouté M. Carter, précisant ne pas avoir reçu de réponse.

L'ex-président, qui a mené plusieurs médiations depuis son départ de la Maison Blanche en 1981, s'est déjà rendu à Pyongyang en 1994, alors que la Corée du Nord et les Etats-Unis étaient déjà en crise.

Disant partager les craintes relatives à l'escalade verbale entre Donald Trump et le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, Jimmy Carter estime que l'administration américaine «surestime grandement» l'influence de la Chine sur la Corée du Nord. Il observe également que Pyongyang est engagé dans une stratégie de survie du régime et s'inquiète du caractère imprévisible de Kim Jong-un.

ats