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Pas d’OPA sur «les shampoings et les yaourts» français, prévient Edouard Philippe
Pas d’OPA sur «les shampoings et les yaourts» français, prévient Edouard Philippe
Le premier ministre ne prévoit pas d’élargir le décret protégeant les secteurs stratégiques mais prévient que toute OPA sur un groupe industriel français fera l’objet d’une « montée au créneau » de l’Etat
Qui a dit : « Nous n’hésiterons pas à monter au créneau en cas de menace d’OPA sur des champions français et cette vigilance ne concernera pas uniquement les secteurs de la défense ou de la sécurité » ? Qu’elle vaudra « pour tous les secteurs, y compris par exemple l’agroalimentaire ou les cosmétiques, dès lors que l’ancrage territorial des groupes concernés, leur dynamisme à l’exportation ou leur appartenance symbolique à la “marque France” le justifient » ? Arnaud Montebourg ? Marine Le Pen ? Non, c’est le Premier ministre Edouard Philippe, devant le Conseil national de l’industrie, lundi à Bobigny (Seine-Saint-Denis).
Edouard Philippe demande à l’exécutif de «résister à la tentation de la facilité» et de ne pas augmenter les impôts. Il faut «rester fidèle à la promesse formulée par le président de la République en 2017», a lancé l'ancien Premier ministre lors d’un déplacement à Besançon le 5 avril.
Des perquisitions ont eu lieu mercredi à l'Hôtel de ville du Havre. Selon LeMonde, l'ex-Premier ministre et une de ses adjointes sont visés par une enquête préliminaire du Parquet national financier pour «prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, favoritisme et harcèlement moral»
En rupture avec les recettes du «nouveau monde» macroniste, l'ex-Premier ministre mène sa campagne à bas bruit, en pariant sur la structuration d'un parti, les élus locaux et le temps long
L’ancien Premier ministre est revenu sur ses ambitions nationales pour le scrutin de 2027 lors d’une réunion avec de jeunes habitants, à Nouméa, jeudi 21 mars, rapporte Le Figaro
Surnommés les Khol — Kering, Hermès, L’Oréal et LVMH —, nos géants du luxe sont désormais, par leurs trajectoires boursières, scrutés avec autant d’attention que les Gafam