Le suspect du meurtre de la marathonienne se pend dans sa cellule

Dans le contexte de la campagne contre les violences faites aux femmes, le meurtre de cette sportive, réfugiée éthiopienne, a ému l'opinion.

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La marathonienne Zenash Gezmu, le 1er mai 2016. 
La marathonienne Zenash Gezmu, le 1er mai 2016.  © Celine DELY / MAXPPP / PHOTOPQR/LE PARISIEN

Temps de lecture : 1 min

Le suspect dans l'assassinat de Zenash Gezmu, une marathonienne du Stade français de 27 ans originaire d'Éthiopie, tuée à main nue lundi, a tenté de mettre fin à ses jours dans sa cellule vendredi. Une information confirmée au Point par le parquet de Bobigny. Malgré les massages cardiaques et l'usage du défibrillateur, Haylab G. était toujours dans le coma vendredi. Selon les premières constatations, il a utilisé son bas de survêtement pour se pendre dans sa cellule du dépôt, alors qu'il devait être transféré à Fleury-Merogis

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Cet Érythréen de 28 ans s'était rendu au commissariat du 18e arrondissement le lendemain de la découverte du corps au domicile de la jeune femme situé à Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis. Il avait été mis en examen pour assassinat et incarcéré jeudi. Selon ses déclarations aux enquêteurs, il a assassiné Zenash Gezmu en la frappant avec ses trophées puis l'a étouffée.

Le parquet a ouvert une enquête et un juge d'instruction a été désigné.


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Commentaires (3)

  • bonsens9

    C’est juste du racolage, pas du journalisme. En attendant la misère intellectuelle du monde massacre des femmes en France. Grosse nausée

  • capitoul

    En fait voila une solution économique... Pour les contribuables... Hélas

  • Jepirad

    S'il est vivant à l'hôpital il ne s'est pas pendu. Sinon il serait mort.