Frédéric Gros : "C’est confortable d’obéir"

Tentative d'arrestation de manifestants du mouvement Occupy Wall Street en octobre 2011 ©AFP - MARIO TAMA / GETTY IMAGES NORTH AMERICA
Tentative d'arrestation de manifestants du mouvement Occupy Wall Street en octobre 2011 ©AFP - MARIO TAMA / GETTY IMAGES NORTH AMERICA
Tentative d'arrestation de manifestants du mouvement Occupy Wall Street en octobre 2011 ©AFP - MARIO TAMA / GETTY IMAGES NORTH AMERICA
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Ce soir Antoine Garapon s'entretient avec Frédéric Gros, philosophe, professeur de pensée politique à l'Institut d'études politiques de Paris et chercheur au CEVIPOF.

Avec
  • Frédéric Gros Philosophe, essayiste, professeur de pensée politique à Sciences-po Paris

Après avoir inauguré nos discussions de cette année par une réflexion sur le tueur de masse, Frédéric Gros complétera cette matière à penser en tant que philosophe. Il s’interroge en effet dans son dernier livre (Désobéir, Albin Michel) sur l’acte d’obéir, ou mieux, de surobéir, c’est-à-dire d’anticiper le désir du maître. Il trace la voie fragile - mais la seule qui puisse convenir à un homme démocratique - d’une obéissance à soi qui ne se confond pas avec le désir.

Frédéric Gros
Frédéric Gros
- Seham Boutata

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