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Comme dans le célèbre poème de Paul Éluard qu'il vénère, Omar Youssef Souleimane a par le pouvoir d'un mot, « liberté », recommencé sa vie. Traqué par les services de renseignements syriens après avoir participé au Printemps arabe, ce jeune poète a fui Homs en 2012. Exilé, le trentenaire réside désormais en région parisienne. Alors qu'à son arrivée à l'aéroport Charles-de-Gaulle le réfugié ne savait que quelques mots en français – dont bien sûr le « liberté » d'Éluard –, il publie dans sa langue d'adoption Le Petit Terroriste (Flammarion). Un livre aussi bouleversant qu'hilarant, oscillant entre Les Beaux Gosses et Voltaire, dans lequel ce dissident se souvient de son éducation très religieuse en Syrie et en Arabie saoudite.
Fils de dentistes salafistes, Omar Youssef Soul...
L'athéisme n'est pas la solution ? Quand on parle de solutions c'est qu'il y a problème. Sans problèmes pas besoin de solutions. Admettons que l'athéisme ne soit pas la solution. Reste le problème, lequel ? La religion. La solution athesiste, qui semble ne pas vous plaire, est simple. Du moment que cette chose, que pas mal de monde appelle "dieu", n'existe pas, il n'y a pas besoin ni de religion (donc plus de problème) ni de ses hommes (soi disant hommes de dieu) qui sont à la religion ce que le métastases sont au cancer. Simple, n'etes-vous pas d'accord, Monsieur 13mai1958 ?
Il s'agit d'une démarche similaire à celle des athées, anticléricaux, libres-penseurs, Clémenceau, Combes et beaucoup d'autres, les instigateurs de la loi de séparation de l'église et de l'état de 1905. A cette époque, la totalité ou la grande majorité de ces personnes étaient à l'origine chrétiens catholiques et avaient reçus une éducation religieuse qui les avaient convaincus de devenir athées ou agnostiques.
Oui, bravo à cet homme qui a eu la bonne idée de vouloir penser par lui même et trouver les failles de sa religion d'origine, puisqu'il y en a dans toutes les religions.
Cette immigration là, je suis pour. Au moins on pourrait prendre plaisir à la discussion.