Claude Debussy est mort il y aura bientôt cent ans, le 25 mars 1918. L’occasion de revenir sur son œuvre à l’aide d’un entretien imaginaire avec le compositeur, à partir des véritables propos de l’auteur de “Pelléas et Mélisande”.
Réservé aux abonnés
Publié le 29 janvier 2018 à 10h00
Mis à jour le 08 décembre 2020 à 01h32
Pour le centenaire de la mort de Claude Debussy (1862-1918), un pèlerinage s’imposait dans sa maison natale de Saint-Germain-en Laye, devenue musée. Son bureau, tapissé de livres, vibre de sa présence. Au mur, l’estampe La Mer, de Hokusai, sur laquelle surfe une de ses plus belles partition. Sur sa table se trouve Arkel, un talisman : un crapaud en bois poli, auquel il avait donné le nom du vieux roi de Pelléas et Mélisande, son unique opéra. Je posai la main sur sa tête en songeant à la devise de Debussy : « N’écoutez les conseils de personne, sinon le bruit du vent qui passe et nous raconte l’histoire du monde. » Soudain, il apparut. Dans un songe. Rien d’étonnant,
Déjà abonné ? Je me connecte
Cher lecteur, chère lectrice, Nous travaillons sur une nouvelle interface de commentaires afin de vous offrir le plus grand confort pour dialoguer. Merci de votre patience.