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Le 8 décembre dernier, sur la place du Palais des nations, une main argentée, de cinq à six mètres de haut, se tend, durant quelques dizaines de minutes seulement, vers le ciel gris de Genève. Cette œuvre éphémère est démontée dès que le docteur Ali Bin Fetais Al-Marri, le procureur général du Qatar, a fini de distribuer une série de prix de lutte contre la corruption remis à des personnalités venues de Chine, des États-Unis, de Jordanie ou d'Italie. Ce jour-là, ce francophone de bientôt 53 ans, à la fine moustache, officie comme président du Rule of Law and Anti-Corruption Center (Rolacc), une structure chargée de lutter contre le fléau « de la corruption sous toutes ses formes ». Rolacc a établi une antenne à Genève en mars 2017, au Grand-Saconnex, une commune du canton de Genève. N'é...
Dati, de Villepin, Le Guen, Sarkozy dans les bons papiers du prince ?
Et les autres qui sont-ils en France ?
Merci.
C'est le Cahuzac version Qatar ?
Qatar et anti-corruption ? Vous plaisentez.