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Selon nos informations, Radouane Lakdim, le terroriste de Carcassonne et de Trèbes dans l'Aude, faisait toujours l'objet d'un « suivi » par les enquêteurs de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Vendredi, François Molins, procureur de la République de Paris, avait déclaré que le terroriste islamiste tué au cours de l'assaut donné par les hommes du groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) dans un magasin Super U à Trèbes avait, à partir de 2014, été suivi par les services de renseignements et fiché S (pour sûreté de l'État) « en raison de ses liens avec la mouvance salafiste ».
« Nous avions suivi Radouane Lakdim et nous pensions qu'il n'y avait pas de radicalisation », mais « il est passé à l'acte brusquement », a aussi indiqué Gérard Co...
De quoi se plaint on ?
Hum...
Lire l'excellent article du point d'un juge qui parle du mur des cons
"indices graves et concordants " : cette formule permet aux juges de placer un ancien président en examen. Et si les juges appliquaient la même formule aux 15 à 20000 fichés "S", combien seraient mis en examen ?
Il devait être suivi de très loin ! !