Dans “Le Traquet kurde”, son dernier livre, l’écrivain nous embarque au Kurdistan, sur les traces d’une espèce orientale aperçue au Puy du Dôme. Amateur de beaux plumages, amoureux du chant du merle, Jean Rolin observe avec tristesse leur disparition annoncée par de récentes études. Rencontre.
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Publié le 19 avril 2018 à 10h00
Mis à jour le 08 décembre 2020 à 01h25
Jean Rolin n’est pas seulement « l’homme qui a vu l’ours » – titre du recueil de ses reportages, paru en 2006 chez P.O.L. Parmi les bêtes variées qui, discrètement souvent, ouvertement parfois, évoluent dans les pages de tous ses récits, l’oiseau occupe une place de choix. Dans son dernier ouvrage paru, Le Traquet kurde, Jean Rolin suit ainsi à la trace, à sa manière, c’est-à-dire digressive, un oiseau originaire du Kurdistan et dont un spécimen fut observé et formellement identifié en mai 2015, au sommet du puy de Dôme. Quel augure mystérieux la présence incongrue, au cœur du Massif central, d’un passereau minuscule venu d’une zone de guerre aux portes de l’Orient
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