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« Pour l'instant, ça sent mauvais. Mais bientôt nous verrons les rats envahir les rues. On croirait vivre dans un bidonville... » Ce lundi matin, face aux conteneurs débordants au pied de son immeuble, Frédérique est désemparée. Comme bon nombre de Corses, cette sexagénaire résidant dans les quartiers de Lupinu, à Bastia, tombe d'exaspération devant les ordures, toujours plus nombreuses, qui jonchent les trottoirs de la ville et font désormais partie du décor.
Une désolation ? Le mot est sans doute en deçà de la réalité. Depuis une semaine, la Corse s'embourbe dans une insoluble crise des déchets qui débordent jusque dans les rues. À Bastia et à Ajaccio principalement, les poubelles qui débordent participent du paysage urbain et empoisonnent le quotidien de milliers d'ins...
Ils verraient sans doute très bien que ce soit traité " ailleurs" une idée, sur le continent ?
Nous on est une région touristique !
Les mêmes régions touristiques qui ne veulent pas non plus que soient implantés certaines usines, certaines créations d'énergie : nous sommes une région touristique. Des emplois, oui, que touristiques et le jour où ça ne va plus de ce coté là on en subit les conséquences.
C'est bien un pays du sud !
Rédiger un marché en vue de l'obtention par une société de traitement "Della bassa" du sud de l'Italie.
Le traitement/tri et revalorisation consiste à remplir un cargo à bout de souffle. Une fois plein, faire route au dessus d'un haut fond et de saborder et recueillir l'équipage avec reconpense. Reste à la pieuvre de se faire payer. Mais, avec une partie des nationalistes leur cousinage affairiste permet bien des choses.
Quand au certificat, une imprimante suffit
Avec ses déchets ses ordures ses problèmes simples qu’ils vont apprendre à résoudre tout seuls comme des grands... Je me marre...