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Ouf, c'est fait ! Là où se dressait deux ans plus tôt la forteresse abhorrée, il n'y a plus qu'un terrain vague. L'entrepreneur Pierre-François Palloy peut se montrer satisfait. Il lui a fallu seulement 22 mois pour faire disparaître le symbole du despotisme royal.
Un genou à terre
Moins d'une semaine après la prise de la Bastille, Palloy sélectionne un millier d'ouvriers enthousiastes qui prennent la forteresse d'assaut pour la deuxième fois. Ils balancent les pierres depuis le haut des remparts, parfois aidés par des curieux venus récupérer des souvenirs. Au fil des mois, le monstrueux édifice met un genou à terre, puis rend les armes. Les pierres sont revendues aux entr...
On aurait du la garder pour y mettre nos chers fichés S et autres terroristes
Le début des grands travaux inutiles.
Non, maintenant, il n y a plus que des pauvres... Et des politiques.