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ChinePrison pour le tibétain qui a parlé à la presse

Tashi Wangchuk.

La principale association de journalistes étrangers en Chine s'est dite vendredi «atterrée» pour les sources de la presse après la condamnation définitive à cinq ans de prison d'un Tibétain qui avait parlé au «New York Times».

Tashi Wangchuk est un militant qui dénonçait un déficit d'enseignement de la langue tibétaine dans les écoles de sa province natale du Qinghai (nord-ouest), peuplée de nombreux Tibétains, évoquant un «massacre systématique» de la culture locale.

L'homme avait fait l'objet fin 2015 d'un documentaire du quotidien américain. La vidéo relatait son voyage à Pékin, où il tentait de sensibiliser les autorités et les médias à sa cause.

Tashi Wangchuk avait été interpellé peu après la diffusion du reportage. Condamné en mai dernier pour «incitation au séparatisme», il a vu son appel définitivement rejeté il y a quelques jours.

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Le Club des correspondants étrangers en Chine s'est dit «préoccupé et atterré» par cette condamnation définitive, «largement fondée sur ses propos prononcés dans un documentaire du New York Times».

«Cela envoie aux sources un message selon lequel elles risquent d'être sévèrement punies si elles accordent des entretiens à des médias étrangers», a indiqué dans un communiqué Hanna Sahlberg, la présidente du club.

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«Et si les sources ne peuvent pas parler aux journalistes sans crainte, nous ne sommes pas en mesure de rendre compte avec exactitude de l'actualité d'une des nations les plus influentes au monde», déplore la journaliste.

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De nombreux médias internationaux se plaignent d'entraves croissantes dans la couverture des questions sensibles liées aux minorités ethniques en Chine.

Documentaire du «New York Times»

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Les journalistes étrangers ont par exemple besoin d'une autorisation spéciale pour se rendre seuls dans la région autonome du Tibet (ouest). Mais ce permis n'est presque jamais accordé.

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AFP