L’appel de 440 historiennes : notre vision de l’histoire est-elle trop masculine ?

Hélène Carrère d'Encausse, académicienne, entourée par les académiciens Félicien Marceau, Alain Decaux, Jean-Marie Rouart, Marc Fumaroli, Pierre Nora et René de Obaldia. Photo prise le 26 octobre 2006 à l’institut de France à Paris. ©AFP - OLIVIER LABAN-MATTE
Hélène Carrère d'Encausse, académicienne, entourée par les académiciens Félicien Marceau, Alain Decaux, Jean-Marie Rouart, Marc Fumaroli, Pierre Nora et René de Obaldia. Photo prise le 26 octobre 2006 à l’institut de France à Paris. ©AFP - OLIVIER LABAN-MATTE
Hélène Carrère d'Encausse, académicienne, entourée par les académiciens Félicien Marceau, Alain Decaux, Jean-Marie Rouart, Marc Fumaroli, Pierre Nora et René de Obaldia. Photo prise le 26 octobre 2006 à l’institut de France à Paris. ©AFP - OLIVIER LABAN-MATTE
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La domination masculine n’épargne pas non plus l’Histoire avec un grand « H ». 440 historiennes françaises viennent de publier une tribune dans « Le Monde », pour dénoncer l’invisibilité des femmes dans leur discipline.

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A quelques jours de l’ouverture des Rendez-vous de l’histoire de Blois, la démarche est évidemment symbolique. Comment se traduit cette marginalisation ? La domination masculine a-t-elle construit une autre Histoire ?

L’appel de 440 historiennes françaises : « Mettons fin à la domination masculine en histoire »

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