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Le cerveau des femmes plus vulnérable aux chocs répétés

À taux comparables, les femmes qui pratiquent le football, le rugby ou la boxe, risquent davantage d’être victimes de commotions cérébrales que les hommes. 26548800/Dusan Kostic - stock.adobe.com

Certaines techniques pratiquées au football ou encore au hockey pourraient affecter le cerveau et son fonctionnement à long terme.

Les femmes qui jouent au football en amateur ont des lésions du cerveau plus nombreuses et plus étendues que les hommes révèle une étude menée par des chercheurs américains du Albert Einstein College of Medicine à New York publiée dans la revue Radiology. L’importance de ces lésions apparaît liée au nombre de têtes faites chaque année, signe que des chocs violents répétés peuvent altérer la structure du cerveau sans symptômes apparents. Une autre étude américaine comparant des joueuses de hockey sur glace à leurs homologues masculins, publiée l’an passé, est arrivée à la même conclusion.

Le fait déjà connu que les joueuses américaines de football déclarent un plus grand nombre de commotions que les hommes serait bien dû à la plus grande vulnérabilité de leur cerveau aux chocs répétés et non, comme on a pu le penser, à une plus grande sensibilité à la douleur ou facilité à en faire part.

Les lésions de la substance blanche repérées dans huit régions du cerveau de ces femmes, au lieu de trois…

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2 commentaires
  • usipsec usipsec

    le

    Mon Dieu !
    Les féministes vont hurler.
    Déjà qu’elles chouinent contre la nature

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