DIAPORAMA - #ThisIsNotConsent : les artistes se mobilisent contre la culture du viol

"This is not consent", le nouveau slogan contre la culture du viol se décline en dessins et photographies sur les réseaux sociaux tels que Twitter et Instagram.

Dessinatrices, dessinateurs s'engagent contre la culture du viol

Crédits : Instagram ; Twitter
Une broderie engagée

Crédits : Twitter/JulipePBagnes
La photographe et réalisatrice begle Charlotte Abramow a détourné un de ses clichés pour sensibiliser autour de ce mouvement

Crédits : Instagram/charlotteabramow
"Ceci n'est pas consentir", est le slogan des Irlandaises qui a gagné le monde entier

Crédits : Instagram/ibelieveherirland
"Les violeurs violent des gens et pas des tenues"

Crédits : Instagram/gurlstalk
"Est-ce que le maquillage peut couvrir les blessures de notre oppression ?" / "Mes vêtements ne sont pas mon consentement"

Crédits : Instagram/fashionfeminists
La nouvelle liberté (de consentir) guidant le peuple irlandais

Crédits : Instagram/maricazottinoillustration
Le message est une fois de plus clair

Crédits : Instagram/100daysofmay
"Ne consent pas"

Crédits : Instagram/femietze
"Ceci n'est pas"... en référence au tableau de Magritte

Crédits : Instagram/elawin_blackmoon
De la culotte au string : les sous-vêtements ne sont pas une preuve de consentement

Crédits : Instagram/thisisaliceskinner
"Je ne l'ai pas demandé"

Crédits : Instagram/the.lgbtq.rainbow
L'ilustratrice Chrostin a elle-aussi mis sa pierre à l'édifice du consentement

Crédits : Instagram/chrostin
Le dessinateur Niall O'Loughlin a également sensibilisé ses abonné-es à cette question

Crédits : Twitter/nialloloughlin
Un mur peint en réponse au mouvement

Crédits : Twitter/RachelNaysmith
"Toujours pas demandé ça"

Crédits : Instagram/thisisaliceskinner
"Bande de malades"

Crédits : Twitter/oceanemrll

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"This is not consent" est devenu le nouveau slogan d'une génération de femmes et d'hommes qui n'en peuvent plus de la culture du viol. Dernier exemple en date ? En Irlande, une avocate a brandi le string d'une plaignante dans le cas d'une affaire de viol, disant que ce bout de tissu était bien la preuve de son consentement à une relation sexuelle avec un homme de dix ans de plus qu'elle (l'accusatrice avait 17 ans au moment des faits qu'elle a rapportés).

Après l'apparition du hashtag sur les réseaux sociaux, de nombreuses artistes ont sorti leurs crayons afin d'illustrer le problème d'une telle argumentation qui nourrit l'idée que c'est la faute de la victime si elle a été violée.

Parce que parfois, une image ou un dessin vaut plus que mille mots, on vous a sélectionné les meilleures productions repérées sur Twitter et Instagram. Parmi les artistes ayant contribué au mouvement, on retrouve la photographe et réalisatrice belge Charlotte Abramow ou la dessinatrice de comics sur le web Chrostin.

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