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Le port du gilet jaune va-t-il bientôt s'étendre à d'autres pays d'Europe ? Déjà à Bruxelles, certains manifestants avaient revêtu ce vêtement, devenu le symbole de la fronde sociale en France, lors de l'acte IV de la mobilisation du mouvement samedi. Mais dimanche, c'est au Monténégro que plusieurs Gilets jaunes ont pu être observés par des correspondants de l'Agence France-Presse. Ces Gilets jaunes-là étaient en réalité des centaines d'opposants pro-russes qui manifestaient contre les poursuites judiciaires lancées à l'encontre de deux de leurs leaders.
« Nous voulons rendre ce pays meilleur comme en France où le pays est rendu meilleur par des actions qui empêchent des décisions politiques nuisibles. C'est pour cela que nous portons des gilets jaunes », a lancé à la foule Andrija Mandic, un des leaders du Front démocratique, une coalition de plusieurs partis pro-russes. Il faisait référence à la fronde sociale qui agite la France depuis plusieurs semaines, agrégeant des manifestants, issus majoritairement des classes populaires et moyennes, qui se disent excédés par la politique fiscale et sociale du président Emmanuel Macron jugée injuste.
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Un député de l'opposition serbe avait déjà revêtu un gilet jaune au Parlement début décembre pour protester contre les prix de l'essence dans son pays. Entre 1 000 et 2 000 personnes s'étaient réunies à Podgorica pour protester contre l'arrestation de Nebojsa Medojevic et le mandat d'arrêt délivré contre Milan Knezevic. Début 2018, Nebojsa Medojevic avait accusé le procureur spécial pour le Monténégro, Milivoje Katnic, d'avoir reçu un pot-de-vin de 100 000 euros pour épargner la prison à un responsable politique, membre du parti au pouvoir, le DPS. La détention de Nebojsa Medojevic peut durer jusqu'à deux mois.
De son côté, Milan Knezevic est visé par un mandat d'arrêt pour refus de témoigner dans une autre affaire de corruption présumée. Parallèlement, il est accusé, avec Andrija Mandic, d'être impliqué dans une tentative de coup d'État qu'auraient ourdi des pro-russes à l'automne 2016. Ces derniers affirment que ces accusations sont un complot politique du pouvoir destiné à abattre l'opposition pro-russe. Le verdict est attendu début 2019.
Qui a dit que la France est mauvaise exportatrice ? Bon, ce qui serait bien, c'est que l'on arrive à exporter des trucs qui rapportent...
De tous les pays, rassemblons nous. Tiens, une idée, un programme et groupe européen pour les prochaines élections européennes.
Et viva nos amis russes, américains, maghrébins, africains...
Une alliance mondiale contre la dette et ses mensonges.
« Quand la France éternue, l’Europe se mouche ».
Certes le rhume est léger, mais tout de même, depuis 1848, il a de beaux restes, ce cher et vieux pays.