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Tout est calme au poste-frontière. Il y a les habituels vendeurs de cartes SIM et ceux qui proposent de changer de l'argent, mais Paraguachón, en Colombie, somnole. « Le pire, c'est que je trouve quand même que c'est hyper actif », soupire un journaliste vénézuélien. Il vit à Maracaibo, de l'autre côté. La capitale pétrolière est la deuxième ville du Venezuela et, il y a quelques années, personne n'aurait envisagé de la comparer avec ce village, ni même avec la ville colombienne voisine de Maicao. Mais Maracaibo, comme le reste du pays, s'est vidée. Si Paraguachón est si morne, c'est à cause de ce qui s'est passé la veille, le 24 novembre : un affrontement entre l'armée vénézuélienne et les contrebandiers, dans les trochas, les chemins clandestins qui traversent la frontière.
Marrant, je remplacerais bien Communistes ou Technocrates par gilets jaunes !
Dommage pour ce pays. Quand on voit certains salaires en France de hauts fonctionnaires, je me dis que le gouvernement pourrait baisser certains salaires et aider le Venezuela
Le communisme appauvri inexorablement la société sans compter la hausse de la criminalité. Merci STALINE !