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Une adolescente de 13 ans agressée et violée par six jeunes. Cette terrible histoire se serait déroulée dans le département des Yvelines, en région parisienne. Tous les protagonistes sont issus du même collège Camille-du-Gast, à Achères. Fait notable : aucun des principaux suspects n'est âgé de plus de 15 ans, selon Le Parisien qui rapporte que tous sont âgés de 12 à 14 ans. Soupçonnés d'avoir abusé d'elle, les accusés ont été déférés devant un juge d'instruction vendredi 1er février avant d'être mis en examen pour viol en réunion, précise encore le quotidien de la capitale.
Le 18 décembre 2018, la collégienne aurait été conduite par trois de ses camarades dans le hall d'un immeuble. Elle explique qu'ils l'auraient forcée à pratiquer des attouchements sur eux avant de la violer. En janvier, les faits se seraient de nouveau produits, au huitième étage du même immeuble. Cette fois, six jeunes auraient été présents et auraient abusé d'elle. C'est seulement la semaine dernière que l'affaire a éclaté quand la jeune fille a décidé de se confier aux éducateurs de son collège. « Comme c'est malheureusement souvent le cas, la victime de ce viol commençait à être la cible de la méchanceté de ses camarades qui l'accusaient d'être une fille facile », explique une source proche du dossier au Parisien.
Lire aussi Affaire de viol au 36 : 7 ans de prison requis contre les policiers
Des versions qui diffèrent
La collégienne est convoquée au commissariat de Conflans-Sainte-Honorine où elle raconte son histoire. Mercredi 30 janvier, les six jeunes sont interpellés et placés en garde à vue par les enquêteurs. Le principal suspect n'a pas tenu à s'exprimer, alors que d'autres adolescents ont nié les accusations. Certains d'entre eux ont toutefois reconnu que la jeune fille disait « non » et qu'elle avait été forcée à faire ce qu'ils voulaient.
D'autres témoins identifiés par les enquêteurs appuieraient par ailleurs la thèse de la victime. Ainsi, plusieurs filles ont vu qu'elle tentait de résister avant d'être entraînée dans l'immeuble. L'enquête du juge d'instruction devrait permettre de lever les dernières zones d'ombre de ce dossier.
Et implication des parents, surtout s'ils reçoivent des aides sociales qui doivent leur être supprimées !
Le message doit être clair !
les responsables/coupables de ce viol si il est avéré doivent être mis à mort socialement : procès public, peine de prison maximale, signalement aux autorités lorsqu'ils sortiront de prison.
Notre compassion doit aller à la victime, pas aux violeurs. Ces crapules sont irrécupérables
Dans certaines cités, que regarder ou parler à la sœur ou la cousine d'un pseudo caïd donne lieu à des représailles, violer celle d'un autre ne pose aucun problème en revanche...