Jeanne Pelat : “La vraie santé n'est pas celle du corps, mais de l'âme”

La force de son propos bouscule. Dans son dernier livre – La Souffrance, chemin vers Dieu, paru le 30 janvier – Jeanne Pelat, myopathe, analyse le sens de la souffrance.
Véronique Durand, avec Sophie Lepivain
Publié le 06/02/2019 à 00h00, mis à jour le 07/02/2019 à 15h15 • Lecture 4 min.
© Léa Crespi pour La Vie

© Léa Crespi pour La Vie • LÉA CRESPI POUR LA VIE

Qui d'autre que Jeanne Pelat peut vous déclarer avec un grand sourire que la maladie est un cadeau ? Qu'elle tient plus du privilège que de la punition ? Que souffrir, dans son corps ou dans son esprit, pour un chrétien, a quelque chose de merveilleux ? Ne voyez là aucune provocation. Aucune volonté de fanfaronner ou de vous faire avaler qu'il est bon de souffrir pour accueillir une quelconque grâce. Aucune invitation au dolorisme !

Un parcours spirituel

Car, à 21 ans, cette jeune femme a déjà éprouvé d'insoutenables souffrances physiques. Depuis l'âge de 6 ans, elle est atteinte d'une forme de myopathie nécrosante auto-immune. À l'âge de 7 ans, elle a perdu l'usage de ses jambes. Puis une maladie de peau inconnue s'est déclarée ainsi qu'un diabète insulinodépendant. Pas un jour sans que la maladie ne se rappelle à elle. L'ancienne ambassadrice du Tél

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Edition du 07 février 2019 (N°3832)

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