Attaques de ChristchurchLes extrémistes suisses étaient aux anges
Les mouvements extrémistes s'arment et sont de plus en plus visibles en Suisse, où il est interdit de les surveiller.
Les ultras gagnent du terrain en Suisse et ils le font savoir. Les extrémistes de droite ne se cachent plus en Suisse, rapporte le SonntagsBlick, qui publie des photographies de xénophobes s'affichant comme tels sur les réseaux sociaux.
Certains, à l'image du chef de la section de Bâle du parti national suisse (PNOS), ont même célébré l'attaque terroriste de Christchurch, perpétrée par un suprémaciste blanc contre deux mosquées et qui a fait 50 morts et des dizaines de blessés. Selon le journal, les extrémistes suisses sont armés et prêts à recourir à la violence.
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Mais, contrairement aux islamistes, ils ne sont pas dans le viseur des autorités suisses, car la loi interdit au Service de renseignement de la Confédération (SRC) de les surveiller suffisamment. Il est par exemple interdit au SRC de prendre des mesures de surveillance stricte contre des néonazis tatoués de croix gammée et posant avec des armes, ces personnes étant classées comme extrémistes violents et non pas comme terroristes.
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