>> Le Récap' de lundi 25 mars
Ces dégradations ont été commises dans la nuit de dimanche 24 à lundi 25 mars. Très tôt avertie, la police s'est rendue sur place. C'est elle qui mène l'enquête ouverte pour dégradation d'un édifice affecté au culte. Les peines peuvent aller jusqu'à sept ans d'emprisonnement et 100.000 euros d'amende.
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En parallèle de ces investigations, la police a immédiatement informé la préfecture qui, dans un communiqué de presse, "dénonce et condamne fermement ces actes qui portent atteinte à la liberté de conscience et d'expression des cultes et sont contraires aux principes de la laïcité". Le préfet y appelle "au respect mutuel dans le cadre du pacte républicain qui doit nous unir".
Par ailleurs, l'Association culturelle des Marocains de la Dordogne (ACMD), porteuse du projet, a déposé une plainte au commissariat de Bergerac.