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Printemps: une escapade bucolique avec Émile Zola et Paul Cézanne

Les jeunes Zola et Cézanne découvraient la célèbre Vallée aux Loups lors de leurs virées de fin de semaine. «Un charme mystérieux pleuvait des grands arbres». Wikimedias commons

LES ARCHIVES DU FIGARO - Pour saluer l’arrivée du printemps ce 20 mars, Le Figaro vous propose de redécouvrir un récit charmant d’Émile Zola, publié en 1881, souvenir de promenades dans une banlieue parisienne encore champêtre.

Les «dimanches de ses vingt-ans» avec son ami Cézanne demeurent pour Émile Zola l’un de ses plus chers souvenirs que le printemps ravive. Sur trois colonnes à la une le 2 mai 1881, l’écrivain se remémore dans Le Figaro ces belles escapades printanières dans «la liberté des grands bois».

Dès leur adolescence, Émile Zola et Paul Cézanne nouent des liens sur les bancs de l’école à Aix-en-Provence. Le petit Zola, orphelin à l’âge de huit ans, voit en Cézanne un protecteur et lui voue une vive admiration. Le futur poète est contraint de venir à Paris vers 1858 pour rejoindre sa mère. La famille a d’importantes difficultés financières. Alors, un ami de son père, rappelle Le Figaro, «finit par le placer à l’Entrepôt de la rue de la Douane, à quatre-vingts francs par mois». Quelque temps plus tard, le jeune homme entre comme employé à la maison Hachette. Ces années demeurent capitales dans l’élaboration de sa pensée et de son œuvre littéraire. Mais Zola se languit d’Aix et de ses amis, plus particulièrement…

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