23h03. Fin de ce direct.

23h02. Ce que signifie l’image de Nacer Bouteflika dans une Algérie en reconstruction (Lire)

22h47. M. Bouteflika, il y a des crimes qui n’admettent pas le pardon (Lire)

21h15. Un opérateur accuse Kouninef, le wali d’Alger et d’autres responsables

19h50. Menaces contre les manifestantes : la justice algérienne ouvre une enquête (Lire)

19h03. Le gouvernement lance un appel à la création de partis et d’associations (Lire)

18h00. Moad Bouchareb dément avoir participé à une réunion en présence d’agents des renseignements français.

17h59. Le Parlement prend acte de la vacance du poste de président de la République (Lire)

16h57. Le portrait de Bouteflika trône toujours au Sénat. Il est toujours accroché dans la salle de réunion où les bureaux de l’APN et du Sénat, se sont réunis, sous la présidence de Bouchareb et de Bensalah.

[Crédits : DR]

15h38. Comme Amara Benyounes, Amar Ghoul dément également avoir pris part à la réunion secrète dénoncée samedi 30 mars par le ministère de la Défense (Démenti publié ce jeudi après une émission de télévision)

15h18. Fin de la réunion des bureaux de l’APN et du Sénat, pour préparer la convocation du Parlement et la désignation du chef de l’Etat.

15h04. Amara Benyounes dément avoir participé à une quelconque réunion suspecte visant à opérer un coup d’Etat et à désigner Liamine Zeroual pour diriger la période de transition. « Je ne peux en aucun cas participer à des réunions en dehors du cadre réglementaire », assure le président du MPA, en rappelant sa fidélité pour l’armée.

14h38. RCD : « Ni le clan Bouteflika-Toufik, ni le clan Gaid-Bensalah ».

14h37. RCD : « Mais, le véritable changement du système ne saurait s’accomplir sans le départ de tous les clans qui ont ruiné la nation et annihilé les espoirs du peuple algérien. Ceux qui s’empressent aujourd’hui à s’aligner derrière les bottes du général Gaid Salah ne sont que les fossoyeurs de l’Algérie démocratique de demain. »

14h37. RCD : « Pour nous, la solution à l’impasse actuelle est en-dehors et contre le système avec ses différents clans. Nous nous réjouissons de la chute du clan Bouteflika-Toufik dont nous avons été la première cible et que nous avons combattu depuis des années. C’est une victoire d’étape de notre peuple qui s’est mobilisé comme un seul homme pour imprimer une nouvelle page à notre pays. »

14h35. Le RCD dénonce les manipulations des nouveaux tenants du système. « Une allégation mensongère donnant le RCD, en lieu et place du RND, partie prenante de la réunion qui a regroupé les membres de l’un des clans du système est diffusée depuis hier sur Facebook par les nouveaux maîtres du moment. Par cette manipulation éhontée, le clan dominant actuellement dans le système tente de porter atteinte au RCD qui a su donner une vision d’avenir de l’Algérie nouvelle en traduisant en projet les revendications légitimes de notre peuple. »

14h30. Le syndicaliste Idir Achour n’est plus. Le défunt était parmi les premiers syndicalistes à appeler les Algériens à sortir pour manifester dans la rue contre le 5e mandat.

14h10. Alger : manifestation à la place de la Grande Poste pour réclamer le départ de « la bande »

13h50. Des images de Nacer Bouteflika, deux jours après la démission de son frère. Il est secrétaire général du ministère de la Formation professionnelle et travaille de façon normale. Il a assisté à la passation de consignes entre l’ancien et le nouveau ministre. (Lire)

>> Lire sur TSA : Bouteflika part et demande pardon : ses soutiens aussi doivent assumer

13h15. L’Instance nationale de préparation du congrès extraordinaire rassembleur, qui regroupe les dissidents au sein du RND, soutient, dans un communiqué, le mouvement populaire de contestation et appelle les Algériens à se « rassembler autour de l’Armée nationale populaire, une institution constitutionnelle qui protège l’unité nationale et qui garantit la transition vers une nouvelle période voulue par le peuple qui jette les bases d’une Algérie démocratique, une Algérie des libertés ».

13h14. Les travailleurs de l’APC de Bejaia sont en grève à cause du retard dans le versement de leurs salaires.

>> Lire sur TSA : Démission de Bouteflika : le Parlement lance le processus de désignation du chef de l’Etat

VIDÉO. Entretien avec Ahmed Adimi, membre dirigeant de Talaie Al Hurriyet

12h32. Via le live tweet de Dilem

#Algerie #Bensalah #Dilem pic.twitter.com/ZzVVrK07Sr

— Ali Dilem (@dilem_ali) April 4, 2019

VIDÉO. Entretien avec Ali Ghediri, ex-candidat à la présidentielle

>> Lire sur TSA : La Constitution, une entrave à la sortie de crise

TSA Direct reçoit Ali Ghediri, ex-candidat à la présidentielle. Un entretien à suivre en direct dans quelques minutes sur notre page Facebook et sur le site www.tsa-algerie.com

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>> Lire sur TSA : Pourquoi un référendum est essentiel pour une vraie transition

Deux jours après la démission du président de la République, la page Bouteflika est déjà tournée. Hier, le désormais ex-chef de l’Etat a adressé une lettre d’adieu aux Algériens, en tant que « simple citoyen ». Abdelaziz Bouteflika demande « pardon » et défend son bilan. « L’erreur étant humaine, je vous demande pardon pour tout manquement, par une parole ou un geste, à votre égard », écrit-il dans son message diffusé après l’annonce par le Conseil constitutionnel de la vacance officielle du poste de président de la République. (Lire)

Hier soir, l’ENTV a ouvert son JT sur ce dernier message présidentiel. En soirée, la télévision publique a rendu hommage au président à travers une émission retraçant son parcours. Au sommet de l’Etat, il y a visiblement une volonté de ne pas humilier le président sortant, malgré sa résistance et celle de son entourage proche jusqu’au dernier jour.

>> Lire sur TSA : La malédiction des présidents algériens

Hier, lors de son passage sur TSA Direct, Chihab Seddik a accusé Said Bouteflika d’avoir cherché à provoquer une confrontation avec l’armée. « Il y a eu de l’entêtement à la présidence de la République en ignorant les revendications populaires. On est arrivé à un bras de fer entre la présidence de la République et l’institution militaire. Nous n’avons jamais vu cela depuis l’indépendance de l’Algérie. Heureusement que le président a accepté de démissionner », a-t-il déclaré. (Lire)

Dans ce contexte, les Algériens s’apprêtent à manifester massivement demain pour réclamer une vraie transition démocratique. Une transition qui passe par le départ des « 3B » (Bensalah, Belaiz et Bedoui) pour confier la gestion de la période à des personnalités plus « consensuelles ». L’armée, qui a déjà appelé à l’application des articles 7 et 8, ne devrait pas s’opposer à cette nouvelle exigence de la rue.