Quand Google se transforme en vaste filet permettant d’attraper des suspects : le journal américain The New York Times relate ce 14 avril que la police américaine sollicite régulièrement les données de localisation des téléphones portables de la firme dans le cadre d’enquêtes criminelles.

Parfois, cette méthode conduit à de fausses pistes. En décembre dernier, dans la banlieue de Phoenix, des détectives ont arrêté Jorge Molina, employé dans un entrepôt, qu’ils soupçonnaient d’avoir tué un homme neuf mois plus tôt. Ce sont les informations fournies par Google sur l’ensemble des appareils enregistrés à proximité de l’incident qui les avaient menés à M. Molina, lequel se trouvait également être en possession d’une voiture de même modèle que celle apparaissant sur une vidéo de l’épisode. Pou