« C’est incroyable ce qui se passe dans notre pays, on ne peut plus parler, on ne peut plus rien dire ! » Invité de BFM-TV, lundi 29 avril, Nicolas Dupont-Aignan a déroulé une partition désormais assez classique chez lui, s’attribuant un certain « courage », et dénonçant une censure envers lui : « Face à ce que je reçois dans la figure de la part du petit système politico-médiatique, tout est fait pour me faire taire », a asséné le chef de file de Debout la France à une Apolline de Malherbe sceptique, qui lui a rappelé qu’il était précisément, ce jour-là, l’invité d’un média.
De fait, il suffit de compter pour se rendre compte que M. Dupont-Aignan, qui aligne les contre-vérités autour de l’Europe ou de l’incendie de Notre-Dame de Paris, n’est en rien victime de censure.
Nous l’avons fait, à partir des tweets de M. Dupont-Aignan signalant son intervention dans un média, et du comptage effectué par le site politiquemedia.com depuis le début de l’année. Résultat : il était invité d’un média plus d’un jour sur trois.
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