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La microvoiture électrique : l'enjeu citadin

La Toyota I-Road, un des concept cars de la marque japonaise.
La Toyota I-Road, un des concept cars de la marque japonaise. © DR
Murielle Bachelier

Avec l’obsession croissante des villes de réduire leurs émissions de CO2 , la (toute) petite auto électrique gagne du terrain, pour offrir une mobilité urbaine facile. Et boostée à l’autopartage.

I-RIDE TOYOTA Retour vers le futur Le concept car urbain du constructeur japonais, avec sa carrosserie compacte et basse et ses portes « papillon » a la possibilité d’afficher à l’avant des messages à l’attention des autres usagers de la route. La I-Ride n’est pas juste une voiture électrique de petite taille (2,50 mètres de long). Elle a été pensée comme un véhicule pratique et fun.

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Dans son habitacle biplace, vous êtes placé au centre, un siège électrique pivote pour permettre d’entrer ou de sortir facilement du véhicule. Pas de volant ni de pédales mais un joystick rappelant les manettes de jeux vidéo pour piloter l’auto. Sur toute la largeur de la planche de bord, un écran où défilent des informations. Enfin, Toyota a imaginé la I-Ride en autopartage pour rendre la mobilité urbaine accessible au plus grand nombre, y compris aux personnes en fauteuil roulant. 

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AMI ONE CITROËN Elle démarre grâce au téléphone Pour son centenaire, Citroën lance un petit joujou de mobilité urbaine pour deux personnes. Un style au carré séduisant, ne nécessitant pas de permis puisqu’il s’agit d’un quadricycle. Ce concept de 2,50 mètres de long ne peut dépasser les 45 km/h, suffisant pour son usage en ville. Une batterie lithium-ion située à plat sous le plancher qu’on recharge en deux heures permet une autonomie de 100 kilomètres. Le téléphone mobile assure son démarrage, le tableau de bord a disparu et on peut caser un bagage devant le passager. 

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TWIZY RENAULT La plus profilée Lancé en 2012, ce quadricycle de 2,34 mètres de long et 1,24 mètre de large, pour deux « vraies » places, reste unique en son genre sur le marché. Renault la propose en version électrique avec un petit coffre de 31 litres. Selon la puissance de son moteur électrique, elle est accessible avec ou sans permis. Elle a une autonomie de 100 kilomètres grâce à un câble intégré compatible avec les prises domestiques. A partir de 6 990 €.

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EU-LIVE DE PSA Mi-voiture, mi-moto Conçue dans le cadre d’un projet européen de nouveaux moyens de mobilité, la EU-Live est encore un concept. Elle s’apparente à une moto sur quatre roues avec un habitacle fermé et chauffé, un airbag, des ceintures de sécurité et un coffre à l’arrière. Sa conduite est plus sécurisée qu’à moto grâce à sa largeur de 85 centimètres. Elle peut se garer entre deux voitures avec ses portières coulissantes. Cet engin peut rouler jusqu’à 130 km/h (70 km/h en mode zéro émission) et a une autonomie de 300 kilomètres.

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Microlino, la plus nostalgique C’est la réplique de l’Isetta produite par BMW dans les années 1950. Aujourd’hui, elle revient en version électrique sous le nom de Microlino, grâce au constructeur suisse de trottinettes Micro Mobility, et devrait débarquer en France en 2020. Son design reste similaire à l’originale et son autonomie sera de 125 à 200 km selon la taille de la batterie, avec une vitesse de 90 km/h. Entre 12 000 € et 15 000 €

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