CHARLIE CHAPLIN : 60 citations d’anthologie

Charlie Chaplin, de son vrai nom Sir Charles Spencer Chaplin, Jr., est un acteur, réalisateur, producteur, scénariste, écrivain et compositeur britannique né à Londres le 16 avril 1889 et mort le 25 décembre 1977 à Vevey en Suisse.

Par son jeu de mime et de clownerie, il se fait remarquer, devient l’un des plus célèbres acteurs d’Hollywood et l’une des personnes les plus créatives de l’ère du cinéma muet. Sa carrière va durer plus de soixante-cinq ans, du music-hall en Angleterre jusqu’à sa mort en Suisse.

Son personnage de Charlot, The Tramp (le vagabond dans les pays anglo-saxons), apparaît pour la première fois dans Charlot est content de lui le 7 février 1914.  Il s’agit d’un sans domicile fixe aux manières de gentleman, muni d’une canne de bambou, coiffé d’un chapeau melon, vêtu d’une veste étriquée et d’un pantalon qui tombe sur ses chaussures trop grandes. Cette allure lui vaut la réputation de « vagabond » à la fois misérable et rusé, asocial et obstiné, révolté et sentimental.

Il fut fortement inspiré par l’acteur burlesque français Max Linder; ce dernier, au contraire de Charlie Chaplin, ne se faisant pas représenter en victime de la société.

La vie publique et privée de Charlie Chaplin fera l’objet d’adulation et de controverses.

Quelques citations d’anthologie :

Le jour où je ma suis aimé pour de vrai, j’ai pu apercevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle, n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Authenticité. 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grand plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Simplicité
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert… l‘Humilité. 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle… Plénitude. 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Maturité. 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Amour Propre. 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Respect.
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon endroit. Et, alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle… Estime de soi. 
Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir, mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient un allié très précieux.
L’histoire n’est que violence et perversité, la géographie n’est que cartes, quant à la poésie, ce n’est rien de plus qu’une gymnastique pour la mémoire.
A aucun moment de l’histoire, le respect humain n’a brillé d’un très vif éclat.
C’est ce que nous sommes tous, des amateurs, on ne vit jamais assez longtemps pour être autre chose.
Ce n’est pas la réalité qui compte dans un film, mais ce que l’imagination peut en faire.
Comme jouer du violon ou du piano, penser exige une pratique quotidienne.
De passage à Londres, Charlie Chaplin voit un jour dans le journal qu’un concours de sosies est organisé dans le quartier de son hôtel. Il s’y rend, anonymement, fait sa démonstration… et finit classé 27ème !
Du chaos naît une étoile.
Il est difficile pour un acteur de jouer naturellement si l’esprit demeure inoccupé.
Il faut apprendre, non pas pour l’amour de la connaissance, mais pour se défendre contre le mépris dans lequel le monde tient les ignorants.
Il faut nous battre pour libérer le monde, pour renverser les frontières et les barrières raciales, pour en finir avec l’avidité, avec la haine et l’intolérance. Il faut nous battre pour construire un monde de raison, un monde où la science et le progrès mèneront tous les hommes vers le bonheur. 
Il faut savoir s’effacer avant que ne commencent à pâlir les plaisirs de la foire aux vanités.
Il faut se méfier du patriotisme car les instincts meurtriers dorment au coeur de chaque nation.
Il faut tendre vers l’impossible : les grands exploits à travers l’histoire ont été la conquête de ce qui semblait impossible.
Il y a plus de faits et de détails historiques valables dans les oeuvres d’art qu’il n’y en a dans les livres d’histoire.
Il y a un véritable agacement à essayer de trouver le mot précis pour les pensées que l’on a.
J’ai découvert que les idées vous viennent quand on éprouve un désir intense d’en trouver; l’esprit devient ainsi une sorte de tour de guet d’où l’on est à l’affût de tout incident susceptible d’exciter l’imagination.
J’ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j’ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublié des personnes inoubliables. J’ai agi par impulsion, j’ai été déçu par des gens que j’en croyais incapables, mais j’ai déçu des gens aussi. J’ai tenu quelqu’un dans mes bras pour le protéger. Je me suis fait des amis éternels. J’ai ri quand il ne le fallait pas. J’ai aimé et je l’ai été en retour, mais j’ai aussi été repoussé. J’ai été aimé et je n’ai pas su aimer. J’ai crié et sauté de tant de joies, j’ai vécu d’amour et fait des promesses éternelles, mais je me suis brisé le coeur, tant de fois ! J’ai pleuré en écoutant de la musique ou en regardant des photos. J’ai téléphoné juste pour entendre une voix, je suis déjà tombé amoureux d’un sourire. J’ai déjà cru mourir par tant de nostalgie. J’ai eu peur de perdre quelqu’un de très spécial (que j’ai fini par perdre). Mais j’ai survécu ! Et je vis encore ! Et la vie, je ne m’en lasse pas. Et toi non plus tu ne devrais pas t’en lasser. Vis ! Ce qui est vraiment bon, c’est de se battre avec persuasion, embrasser la vie et vivre avec passion, perdre avec classe et vaincre en osant… parce que le monde appartient à celui qui ose ! La vie est beaucoup trop belle pour être insignifiante !
J’aime bien les amis comme j’aime bien la musique : quand je suis d’humeur ; mais une telle liberté se paye parfois d’une certaine solitude.
L’âme de l’homme a reçu des ailes et enfin elle commence à voler. Elle vole vers l’arc-en-ciel, vers la lumière de l’espoir. 
L’argent n’est utile que pour qu’on l’oublie, mais c’est aussi quelque chose dont il faut se souvenir.
L’art est une émotion supplémentaire qui vient s’ajouter à une technique habile.

Suite de l’article, page 2

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