L’agglomération parisienne – à l’instar d’autres zones peuplées de l’Hexagone, comme Marseille ou Lyon – connaît un pic de pollution dû à l’ozone à la fin du mois de juin, favorisé par les fortes chaleurs que connaît le pays.
En l’absence d’industries dans la capitale et la proche banlieue, la majorité des émissions polluantes proviennent des transports et de la climatisation. La Mairie de Paris réclame de longue date des mesures fortes de lutte contre la pollution, et la préfecture de police a mis en place, mercredi 26 juin, la circulation différenciée dans la capitale et dans la petite couronne.
La pollution de l’air cause 422 000 décès prématurés chaque année en Europe, 48 000 en France et environ 2 500 pour la seule ville de Paris. En 2019, la capitale a compté un seul jour présentant une « très bonne » qualité de l’air (indice 1 ou 2), le 30 mai.
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