Le mis en cause intervenait dans une école primaire de Bormes en tant que Service civique pour donner des cours de soutien en informatique aux enfants.
Il en profitait pour s'approcher des garçons en classes de CE1, CE2 ou CM1 pour poser sa main sur leur entrejambe.
C'est lorsque la parole d'un enfant s'est libérée que sa mère a déposé plainte. Rapidement suivie par de nombreux parents. Le prévenu, lui, a parlé de "pulsions" pour expliquer ses gestes.
Au total, 17 victimes ont été identifiées. Outre sa condamnation, le tribunal lui a interdit de revenir au Lavandou ou à Bormes après avoir purgé sa peine et lui a fait obligation de se soigner.
Pour l'instant, le Hyérois reste en détention.
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