Photojournalisme: Les lauréats du Visa pour l'Image 2019

Le festival international du photojournalisme Visa pour l'Image se déroule jusqu'au 15 septembre 2019, à Perpignan (Pyrénées-Orientales). On connaît d'ores et déjà les lauréats des prix distribués lors de la semaine des professionnels qui se terminait le 7 septembre. Voici une sélection des reportages mis à l'honneur.

Ambiance au Visa pour l'image (illustration).

Réalisation : Olivier JUSZCZAK

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  Le festival international du photojournalisme Visa pour l'Image se déroule jusqu'au 15 septembre 2019, à Perpignan (Pyrénées-Orientales). On connaît d'ores et déjà les lauréats des prix distribués lors de la semaine des professionnels qui se terminait le 7 septembre. Voici une sélection des reportages mis à l'honneur.

  Ambiance au Visa pour l'image (illustration).

  Réalisation : Olivier JUSZCZAK

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  Visa d'or catégorie Magazine: Frédéric Noy, La lente agonie du lac Victoria.

  Dans une décharge située dans un marécage, un homme nettoie des sacs en plastique dont le colorant bleu va contaminer l’eau du lac. En s’établissant pour des raisons économiques dans une zone humide, filtre naturel des eaux de ruissellement, les oubliés de la croissance ougandaise la détruisent et contribuent à la pollution. Katabi, Ouganda.

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  Visa d’or Paris Match News: Guillermo Arias, La Caravane.

  Escale sur un terrain de basket-ball pour une caravane de migrants du Honduras en direction des Etats-Unis. Une semaine auparavant, le Mexique a annoncé que les migrants d’Amérique centrale se trouvant dans les deux Etats du sud du pays auraient accès aux soins médicaux, à la scolarisation pour leurs enfants et au travail temporaire. San Pedro Tapanatepec, Etat d’Oaxaca, sud du Mexique, 28 octobre 2018.

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  Visa d’or de la Presse Quotidienne: Francesco Anselmi, Libération.

  Des Honduriens venus avec la caravane de migrants, au refuge de Tecate. Mexique, 4 décembre 2018.

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  Visa d’or humanitaire du Comité International de la Croix-Rouge (CICR): Abdulmonam Eassa, La fin inespérée du siège.

  Des civils courent se mettre à l’abri après des frappes aériennes attribuées aux forces russes et syriennes sur la ville de Hamouria, aux mains des rebelles. Ghouta orientale, 6 janvier 2018.

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  Visa d’or d’honneur du Figaro Magazine: William Albert Allard pour l'ensemble de sa carrière.

  Portraits of America, 2001

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  Bourse Canon de la femme photojournaliste: Anush Babajanyan pour son projet sur les familles nombreuses au sud du Caucase.

  Six enfants au village de Nor Erkedj, Sud Caucase.

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  Prix de la Ville de Perpignan Rémi Ochlik: Adriana Loureiro Fernandez, Paradis Perdu.

  Un homme passe devant un étalage de vêtements d’occasion dans la rue. Caracas, Venezuela, 1er février 2019.

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  Prix Camille Lepage soutenu par la SAIF: Thomas Morel-Fort pour l’aider à terminer son reportage sur les employées domestiques philippines.

  Tita, nourrice, se repose dans le patio en surveillant l’enfant de ses patrons. Comme ils avaient des invités, ils l’ont fait dormir dans le couloir avec le bébé qui ne fait pas ses nuits. C’est le jardinier qui lui a prêté son matelas pour qu’elle soit un peu mieux. Ses employeurs, des Libyens, lui ont pris son passeport pour qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Côte d’Azur, 9 août 2016.

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  Prix Pierre & Alexandra Boulat soutenu par la SCAM: Axelle de Russé pour son projet Dehors, récit de la vie après la prison pour les femmes en France.

  Levée d’écrou pour Magalie. Après quatre ans derrière les barreaux, elle est libre. Reims, 11 octobre 2018.

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  Prix ANI-PIxTrakk (Association Nationale des Iconographes): Nicolas Krief, Accrochages.

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  Prix Photo – Fondation Yves Rocher: Nadia Shira Cohen pour son projet de reportage sur les tensions entre les apiculteurs mayas et les mennonites cultivant du soja génétiquement modifié.

  Des apiculteurs, supervisés par Russel Armin Balan, inspectent leurs ruches. Tinúm, Yucatán, Mexique.

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  Le Prix Carmignac du photojournalisme: Tommaso Protti pour son reportage sur l'Amazonie et les enjeux liés à sa déforestation.

  Araribóia, Brésil - Un membre de la garde forestière Guajajara dans un instant de silence triste à la vue d’un arbre abattu par ceux qu’ils suspectent être des trafiquants, dans la réserve indigène d’Araribóia, dans l’Etat de Maranhão. Ces dernières années, les organismes brésiliens de protection de l’environnement et de protection des populations autochtones ont été fortement réduits, et les populations tribales de toute l’Amazonie forment de plus en plus de groupes d’autodéfense.

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