abo Un test utilisé en Suisse pour mesurer la charge virale du VIH montre de faux résultats

Un spécialiste charge une machine d'analyse avec des échantillons de patients atteints du VIH à l'Institut de virologie médicale de Zurich. | Gaetan Bally / Keystone
Un spécialiste charge une machine d'analyse avec des échantillons de patients atteints du VIH à l'Institut de virologie médicale de Zurich. | Gaetan Bally / Keystone

Les personnes atteintes du VIH qui suivent un traitement peuvent avoir des rapports sexuels non protégés sans transmettre la maladie. Mais pour cela, il faut que leur charge virale - la réplication du virus dans leur organisme - soit supprimée. L’OFSP met en garde: un des dispositifs utilisés en Suisse pour la mesurer présente des défaillances.

Pourquoi c’est important. La mesure de la charge virale des patients constitue l’un des piliers de la stratégie Suisse pour endiguer l’épidémie de VIH. Quelque 20'000 personnes vivent avec le virus en Suisse. Le nombre de nouveaux cas baisse chaque année depuis 2008, mais la maladie continue de progresser: en 2017, 445 diagnostics ont été déclarés à l’Office fédéral de la santé publique (OFSP)

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