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Quand l’amour est pratiqué sans désir

CHRONIQUE. Dix-sept pour cent des rapports sexuels seraient pratiqués sans envie, lisait-on dans le «Journal of Sex Research» en 2010. A l’ère post-«#MeToo», consentir sans désir est-il encore banal? Faut-il se forcer pour sauver son couple, ou pas? Le dilemme serait mal formulé, soulève notre chroniqueuse

Image d'illustration. — © Alexander Pokusay (123rf)
Image d'illustration. — © Alexander Pokusay (123rf)

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Retour de couches, usure du couple, anxiété passagère, différentiel de libido: parfois, au lit, on a moins envie (moins que l’autre, ou moins que d’habitude). On préférerait encore remplir sa déclaration d’impôt ou entamer une collection de boîtes de camembert. Est-ce un drame? Si on croit aux contes de fées, à une synchronisation sexuelle parfaite, tombée toute crue du ciel, oui, absolument. Mais si vous n’êtes ni belle ni bête, ni crapaud ni petite sirène, les libidos non ajustées sont plus que normales: elles sont inévitables – sauf incroyable alignement des planètes.

Pas forcément une question d’âge ou de sexe

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