“L’armée américaine va prendre sous sa responsabilité plusieurs dizaines de combattants de Daech qui étaient incarcérés dans des prisons gérées par les Kurdes au nord de la Syrie. Il s’agit notamment de deux Britanniques, tristement célèbres pour leur participation à des actes de torture et à des exécutions d’otages occidentaux”, rapporte le New York Times.

Si les représentants du gouvernement américain “ont évoqué ces transferts avec prudence car l’opération est en cours”, souligne le quotidien new-yorkais, le président américain, Donald Trump, n’a lui pas pris de telles précautions. Il en a parlé ouvertement, le 9 octobre, en déclarant que “les États-Unis se saisissaient d’un ‘certain nombre de combattants de Daech q