Lieux publics, entreprises… Le pape veut des crèches de Noël «partout»
Dans une lettre apostolique, le pape a expliqué que la crèche peut être une sorte d’antidote à la «frénésie» ambiante et à la «tristesse».
Pour le pape François, la crèche de Noël est une affaire sérieuse. Elle est même un outil d’évangélisation qu’il convient de relancer. Ce qu’il a fait, dimanche 1er décembre, en se rendant dans la grotte de Greccio, à une centaine de kilomètres au nord-est de Rome, où Saint François d’Assise eut pour la première fois l’idée de réaliser une crèche vivante de Noël, en 1223.
Là, le pape a signé une nouvelle lettre apostolique «Amirabile Signum», «le signe merveilleux», pour que l’Église catholique remette, partout à l’honneur, les crèches de Noël: dans les églises, dans les maisons mais aussi dans les lieux publics!
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C’est une «belle tradition», a insisté François, elle a donc sa place sur «les lieux de travail, dans les écoles, les hôpitaux, les prisons, sur les places publiques». Car elle est un «signe» qui peut susciter «l’étonnement et l’émerveillement» tout en «annonçant», avec «simplicité et joie », le «mystère de l’incarnation du Fils de Dieu». Ce point fondateur du christianisme…
Paul Meirion
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Il était une fois, il y a bien longtemps, une jeune fille enceinte et sans époux.
Il était une fois un homme qui a épousé la jeune fille, pour la sauver du trottoir et/ou de la lapidation.
L'histoire de sans-logis dans un abris précaire, une étable, et de l'accouchement d'un enfant. Un enfant nu et pauvre, posé dans la paille de la mangeoire des animaux de l'étable, réchauffé par le souffle de cet âne et de ce bœuf, un enfant adopté par un père artisan.
Une histoire d’infanticide et de génocide.
L'histoire d'une famille dans laquelle le père adoptif quitte tout, au milieu de la nuit, pour sauver la vie du fils adoptif: Une famille de réfugiés.
Jésus a été fils de réfugié et réfugié.
Marie, la mère de Jésus était une réfugiée.
Plus que l'histoire de la mère et du fils, cette histoire raconte aussi la nature de la paternité: Le père est celui qui élève l'enfant et qui l'aime au point de tout quitter pour lui.
Toute cette histoire peut être racontée dans n'importe quelle mairie, synagogue, église, mosquée, temple, sur une place publique et même au coin du feu.
La partie chrétienne commence avant et finit après.
https://www.youtube.com/watch?v=v70k0P0vMzY
Floch23
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Dans les lieux publics la discrétion c' est bien aussi, La fête oui, les guirlandes oui , les pères Noël oui, l' arbre de Noël oui, l'idée de partage oui , d' amour oui, mais pas de provocation trop grande c' est mieux .
No Country For Old Man
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En France ce n’est pas des crèches partout. C’est des mosquées partout.