Coronavirus : d'où vient la contamination dans l'Oise ?

Etat de santé et lieux d'hospitalisation des 18 cas confirmés de nouveau coronavirus en France avec dates et détails ©AFP - Sabrina BLANCHARD, Robin BJALON
Etat de santé et lieux d'hospitalisation des 18 cas confirmés de nouveau coronavirus en France avec dates et détails ©AFP - Sabrina BLANCHARD, Robin BJALON
Etat de santé et lieux d'hospitalisation des 18 cas confirmés de nouveau coronavirus en France avec dates et détails ©AFP - Sabrina BLANCHARD, Robin BJALON
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La source de la contamination au coronavirus reste inconnue dans les Hauts-de-France. Une personne en est morte. Une autre est en réanimation au CHU d'Amiens. En France, la définition du "cas suspect" va changer.

Comment deux hommes ont-ils pu attraper le coronavirus sans s'être rendus en Asie ou en Italie et sans avoir été contact avec un malade connu ? Le premier est mort dans la nuit de mardi à mercredi à la Pitié Salpêtrière à Paris. Il avait 60 ans et enseignait dans un collège de l'Oise, à Crépy-en-Valois. Le second est dans un état grave au CHU d'Amiens. A 55 ans, il travaille aussi dans l'Oise, à Creil. Les autorités sanitaires recherchent un éventuel lien entre ces deux hommes. 

Le ministère a décidé de tester tous les malades atteints d'une pneumonie grave en France, même ceux qui n'ont a priori pas de risque d'avoir croisé le coronavirus. Au total, 18 personnes ont contracté le virus sur le sol français.

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Pour les personnes mises à l’isolement en cas de soupçon, elles ont la possibilité d'être indemnisées pendant 20 jours au maximum, sans jour de carence, selon un décret paru au Journal officiel le 1er février.

Le nouveau coronavirus a provoqué quelque 80 000 contaminations (dont près de 2 800 hors de Chine) et plus de 2 700 morts dans le monde, selon des statistiques communiquées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

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Dans ce contexte, un sommet politique est tout de même maintenu en Italie, à Naples. Ce sommet franco-italien est le premier depuis deux ans et demi.  

Attirer des entreprises sur son territoire : est-ce une bonne promesse de campagne pour les candidats aux municipales ? Pas sûr, à moins d'un mois des élections. 

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