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C'est un nouvel épisode dans l'affaire Benjamin Griveaux qui est révélé par L'Obs lundi 2 mars. Il concerne Alexandra de Taddeo, la jeune femme à qui le désormais ancien candidat à la Mairie de Paris avait envoyé plusieurs vidéos et photos intimes, révélées ensuite par Piotr Pavlenski, le compagnon de celle-ci. Placée sous contrôle judiciaire, elle a été mise en examen le 18 février dernier et est suspectée d'« atteinte à la vie privée » et de « diffusion sans l'accord de la personne d'un enregistrement à caractère sexuel ». Dimanche, elle est sortie de son silence et s'est exprimée pour la première fois à la télévision dans l'émission 66 Minutes sur M6.
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Au lendemain de cette interview, la juge d'instruction a pris la décision de demander une expertise psychologique d'Alexandra de Taddeo, sans que l'on sache si cette décision a été motivée par ses propos ou son attitude à la télévision. Une psychologue va notamment être chargée de déterminer « le niveau d'intelligence » de la jeune femme, qui suit actuellement un double cursus en master à l'Institut d'études politiques de Toulouse et à l'université Paris-II-Panthéon-Assas.
❗ #AffaireGriveaux : Interview exclusive M6 ❗
— M6 (@M6) March 1, 2020
Alexandra de Taddeo s’exprime pour la 1ère fois en exclusivité dans :
➡Le #12H45 et Le #19H45
➡#66minutes à 17h20 pic.twitter.com/uwYEchYwA2
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« Ça ne reste qu'une histoire de photos »
L'expert devra aussi « décrire les caractéristiques, les aspects particuliers de l'histoire personnelle et familiale qui ont influencé sur la formation de sa personnalité » et dire si la fille de l'ancien entraîneur du club de football de Metz « a présenté et présente toujours des troubles d'ordre psychologique ou des déficiences susceptibles d'influencer son comportement, notamment son affectivité et son émotivité », selon les informations de L'Obs. La demande d'une expertise psychologique par un magistrat est plutôt rare dans une affaire d'atteinte à la vie privée, précise l'hebdomadaire. Alexandra de Taddeo n'a pas commenté cette information, elle qui expliquait dimanche sur M6 : « Ça ne reste qu'une histoire de photos, de pornographie, on en voit tous les jours… Tout ce qu'il y a eu autour de cette affaire me paraît disproportionné. »
On voudrait interner les « opposants », en plus, là, pour une babiole. C’est le ridicule qui a « tué « ce pauvre Grigzux rien d autre.
Ce n'est pas très flatteur pour Science-Po !
On ne va quand même psychanalyser tous les travailleurs (euses) des bois de Boulogne et de Vincennes !