Boris Vian

Boris Vian ©Getty - Pierre Vauthey/Sygma/Sygma via Getty Images
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Trois invités après Boris Vian. Clémentine Mélois en Vernon Sullivan, François Roulmann au bistouri et Serge Bloch au crayon et à la miriflûte.

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On n’y échappe pas. C’est le titre d’un roman policier commencé par Boris Vian au tout début des années 50. « Si je le loupe, je me suicide au rateloucoume et à la banane frite » avait-il prévenu. Au final il en écrira quatre chapitres et un synopsis, de quoi mâcher aimablement le travail aux six oulipiens qui ont poursuivi le manuscrit, et qui parait aujourd’hui chez Fayard. Douze chapitres tout neufs, à douze mains, dont celles de Clémentine Mélois. On n’y échappe pas (bis). Vian ayant 100 ans le 10 mars, il est partout : Programmation du Printemps des poètes, réédition des deux volumes des Œuvres romanesques complètes en Pléiade, Anatomie du bison disséqué par François Roulmann et Christelle Gonzalo aux Editions des Cendres ou album bien nommé « Si les poètes étaient moins bêtes » illustré par Serge Bloch pour les Editions Rue du monde. Sans compter un petit autocollant bleu qui dit Boris Vian a 100 ans et qui cavale un peu partout. Vian peu ou mal lu de son vivant, redécouvert dans les années 60, canonisé dans les années 80, mis à distance par l'Université.  Trop léger ou trop libre. Qu’a-t-on fait de Vian?

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Boris Vian au Printemps des poètes

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