Valls : « Il n'y a pas d'autre alternative que celle d'aider Macron »

L'ancien Premier ministre évoque son retour politique en France et avance ses idées pour la suite du quinquennat. Une offre de services ?

Propos recueillis par

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Temps de lecture : 10 min

Visiblement, il trépigne. S'il avait juré mordicus que désormais sa vie était à Barcelone, sa ville natale, où il n'est plus que simple conseiller municipal d'opposition, Manuel Valls fait à nouveau une offre de services à ce pays, la France, dont il fut le Premier ministre près de trois ans. Aujourd'hui, il revient régulièrement à Paris pour voir sa mère et ses quatre enfants, mais pas seulement… De passage la semaine dernière, il a multiplié les rencontres avec des journalistes, des amis politiques mais aussi des figures de la majorité. S'il n'a pas eu rendez-vous avec Emmanuel Macron, il assure maintenir « de bonnes relations » avec le président et s'entretient régulièrement par SMS avec Édouard Philippe. Il avait d'ailleurs rendez-vous avec Gilles Le Gendre, le patron du groupe des...

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Élodie GrÉgoire pour LE POINT

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Commentaires (115)

  • Gremelli

    Il se prend pour qui le torero ? J'espère ne jamais le revoir dans la politique française... Ce Mr plein d'argent en souhaiterait d'avantages encore sur le dos du contribuable. Ce "Mossieur" est franchement imbuvable... Qu'il reste a demeure en Espagne... Si ce n'était pas aussi risible... Mais ces politicards prennent les français pour leurs valets...

  • Louisper78

    Valls qui s'est barré en Espagne pour revivre et se faire élire reviendrait sur le territoire national où il n'ya qu'une chose à faire, aider Macron... Prend-t-il encore et toujours les français pour des demeurés ? On pourrait le croire... !

  • berrichon 93

    Ne voyant pas la possibilité de devenir rapidement président de la république, imbu de sa personne, il est parti conquérir l'Espagne.
    Mais les Espagnols ne l'attendaient pas et il s'est mangé un râteau.
    Alors, sans vergogne, il revient mangé dans la gamelle française.
    J'espère que les électeurs français s'en souviendront.