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Cette nuit vers minuit, les policiers du commissariat du « 56 », compétent sur les 5e et 6e arrondissements de Paris, sont intervenus à l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet où de nombreux fidèles assistaient à une messe pascale. Un office qui se tenait clandestinement malgré l'épidémie de Covid-19 et les règles strictes de confinement prises par les autorités.
Ils ont constaté que les portes de l'édifice religieux étaient fermées et qu'une messe était en cours. Un fidèle en sortant, leur a indiqué qu'une quarantaine de personnes se trouvait à l'intérieur. Les policiers ont pris contact avec le prêtre qui a été verbalisé pour non-respect des règles de confinement.
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Selon différentes sources policières issues de la sécurité publique, les participants, contrevenant également aux règles du confinement, n'ont fait l'objet d'aucune contravention de 135 euros. Ils ont pu regagner leur domicile sans être contrôlés.
Les forces de l'ordre avaient été prévenues par des riverains en raison de la musique qui émanait du lieu de culte. L'église est connue pour être fréquentée par les catholiques les plus traditionalistes de Paris.
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Le ministère de l'Intérieur, compétent en matière de cultes, a pris des mesures sanitaires liées au coronavirus, notamment l'interdiction des rassemblements religieux dans les lieux de culte.
Au mois de mars dans la région de Bourgoin-Jallieu dans l'Isère, une messe avait été organisée dans un camping. Là, ce sont les fidèles qui avaient écopé d'une amende pour non-respect du confinement. Le curé avait de son côté fait l'objet d'un rappel à la loi sans condamnation pécuniaire.
Toutes les religions ont leurs extrémistes. A noter cependant que Me Lefebvre dont se réclame cette église a été excommunié « latæ sententiæ », dans les années 90.
Les évangélistes sont en pointe de l’indiscipline (Corée du Sud, USA, Inde). Nous ne pouvons jeter la pierre à celle de Mulhouse, aucune interdiction n’ayant été prononcée par le gouvernement. A la même époque le Président Macron était lui-même dans cette ville. Il avait serré une heure durant, quantité de mains, y compris d’infectées.
La personnalité du journaliste pose problème. Il intervient sur des sites musulmans et nous aurions bien apprécié qu’il relève également les dérives de certains imams.
Si le Point tient, au titre de la diversité culturelle et cultuelle avoir recours à des journalistes d’autres confessions ou d’origines ethniques, qu’il recrute Mme Zineb El Rhazoui. Avec elle, les paroles du poète « la femme est l’avenir de l’homme » prennent tout son sens.
D'abord je ne comprends pas bien cette info qui ne revêt qu'un caractère très partisan, sans doute dû à un écrivain en mal de "scoop" ou parce que vigile de la pensée sur mesure, ce qui n'est généralement pas le cas du POINT... Mais le covid19 doit sans doute agir sur les personnes confinés-confinis... !
Je m'étonne d'autant plus que, comme en 14 puis en 40, sur dénonciation (la personne humaine redevient vite la bête... ), la police est intervenue.
Mais comme toute dénonciation qu'est-ce qui était vrai ? J'assiste pour ma part à des offices religieux via le net ou la télévision et tous ces offices, heureusement, se font accompagnés des chants des célébrants au rythme de la partition jouée par l'orgue, ou l'harmonium d'ailleurs puisque tous les édifices religieux ne sont pas dotés d'orgue...
Qui y-a-t-il de surprenant ou d'anormal dans tout cela... Le confinement est respecté ainsi que la libre expression et la pratique religieuse... !
C'est la simple loi républicaine démocratique !
Le dénonciateur et le colporteur font de l'excès de zèle, soit, mais venant du POINT, cela me déçoit énormément...
Je vous crois.
Mais sont-ils les seuls à tricher ?
Ceux qui trichent sont bien plus nombreux que ces tradi dont je suis loin de partager les idées.
Là est le vrai problème.
PS : Par contre, en France nous n'étions pas préparés comme l"étaient d'autres pays comme la Corée.
Nous n'avons ni masques ni centres de dépistage.
alors, il faut se confiner, et nous verrons après les dégâts psychologiques et physiques dus à ce confinement.
Combien de violences, de dépressions, de suicides, de divorces, d'autres maladies chroniques non soignées, le manque de médicaments etc. ?
L'après confinement sera violent sur de nombreux plans.
Voilà ce à quoi je réfléchis et qui m'interpelle.