Temps de lecture : 6 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
Depuis le 2 juin, le comité « La vérité pour Adama » (du nom de ce jeune homme de 24 ans, Adama Traoré, décédé en juillet 2016 à Beaumont-sur-Oise après son interpellation par les gendarmes) multiplie les manifestations, les déclarations dans les médias, inaugure une fresque avec la ville de Stains dénonçant les violences policières et le racisme, pour se retrouver le 20 juin dernier, place Nelson-Mandela, à Bagnolet. Hélène Zanier, habitante de la ville, se dit consternée par cette initiative. Militante laïque, républicaine et écolo, cette activiste locale historique en est certaine, derrière le discours défendant la cause d'Adama Traoré se cache celui, racialiste et identitaire, des indigénistes déjà bien implantés dans la ville de Bagnolet. Hélène fustige les déclarations du comité...
S. V. P. Cessez de lui faire de la publicité ! Elle ne souhaite que cela !
Peut-être cela suffit- il de mettre en lumière cette dame et ses propos racistes... Il serait peut-être temps d'appeler les choses par leur nom et de ne pas sembler cautionner, en employant leur vocabulaire, les propos racistes de ces groupes qui sèment la haine et la discorde. Et tant pis si je me fais censurer, au moins le Point aura-t-il lu mon commentaire.
Le mouvement Black Lives Matter semble être spontané et éparpillé, mais est en réalité contrôlé de très près par des personnalités d'extrême-gauche qui, en surplus, ne sont pas toutes Noires.