Répression : l’autre visage de la puissance chinoise

Une manifestante porte un masque peint aux couleurs du drapeau du Turkestan Oriental(région du Xinjiang),et une main aux couleurs du drapeau chinois,en soutien aux Ouighours. Le 1/10/2019 à Istambul lors d'une manifestation devant le consulat chinois ©AFP - Yasin AKGUL
Une manifestante porte un masque peint aux couleurs du drapeau du Turkestan Oriental(région du Xinjiang),et une main aux couleurs du drapeau chinois,en soutien aux Ouighours. Le 1/10/2019 à Istambul lors d'une manifestation devant le consulat chinois ©AFP - Yasin AKGUL

Répression : l’autre visage de la puissance chinoise

Mardi 24 décembre 2019
Une manifestante porte un masque peint aux couleurs du drapeau du Turkestan Oriental(région du Xinjiang),et une main aux couleurs du drapeau chinois,en soutien aux Ouighours. Le 1/10/2019 à Istambul lors d'une manifestation devant le consulat chinois ©AFP - Yasin AKGUL
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Du Xinjiang à Hong-Kong, que montrent les méthodes de répression de l'Etat chinois sur la situation des droits humains dans le pays ?

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C’est l’autre visage de la puissance chinoise qui s’est donné à voir tout au long de cette année 2019, de la répression des manifestations à Hong-Kong aux révélations sur les camps d’internement des minorités ouïghoures du Xinjiang. De quoi questionner le modèle politique chinois et son rapport aux libertés. Depuis son arrivée au pouvoir Xi Jinping ne fait pas mystère de sa volonté d’exercer un contrôle étroit de l’appareil d’Etat et de la vie publique en général. Une tendance qui inquiète jusque dans les rangs officiels en Chine, et bien au-delà.

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