Temps de lecture : 10 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
La rue Férou, qui jouxte le jardin du Luxembourg, est une petite rue pavée, étroite et charmante. C'est ici, au numéro 11, dans un des quartiers qui font depuis toujours la vie politique et culturelle parisienne, et où le mètre carré est le plus cher de la capitale, que de nombreuses étudiantes, bénéficiaires de bourses, ont vécu au XXe siècle. Yvonne de Coubertin, la propriétaire des lieux, avait confié ses bonnes œuvres à une association, Fénelon, reconnue d'utilité publique en 1922, et l'avait chargée de perpétuer, longtemps après sa mort en 1974, ce pour quoi elle s'était battue toute sa vie : l'accès des jeunes femmes au savoir. Après son décès, les choses se sont pourtant lentement délitées, si bien que plus aucune étudiante ne vit ici et seules sont logées à prix d'ami des connai...
C'est presque burlesque... Car on se dit que ces profiteurs doivent penser, relativement à la faiblesse de leur loyer que... "l’essentiel c'est de participer" !
Un scandale !
C'est le seul mot qui me vient à l'esprit...
Et à quoi sert et pour qui roule la Justice...