"Comme après chaque attentat, en plus du chagrin et de la peur, il faut endurer la violence de médias américains nous reprochant de l’avoir bien cherché", s'insurge Caroline Fourest, éditorialiste de "Marianne".
Comme après chaque attentat, en plus du chagrin et de la peur, il faut endurer la violence de médias américains nous reprochant de l’avoir bien cherché. Un peu comme on accuse une femme de porter une jupe trop courte après un viol, on accuse la France d’attiser le feu djihadiste, de semer la division en voulant se défendre. Et, bien sûr, ce sont les dessins de Charlie et non le terrorisme, qui nous mettent en danger.