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Le nouvel exploit de la surfeuse française Justine Dupont à Nazaré

Justine Dupont a surfé à Nazaré ce qui est probablement la plus grosse vague de sa vie.
Justine Dupont a surfé à Nazaré ce qui est probablement la plus grosse vague de sa vie. © Hugo Silva/Red Bull Content Pool
Clémentine Rebillat

La surfeuse française Justine Dupont a réalisé un nouvel exploit il y a quelques jours en domptant la plus grosse vague de sa vie sur le mythique spot de Nazaré, au Portugal.

Justine Dupont vient de nouveau de réaliser un incroyable exploit. La surfeuse française a dompté la plus grosse vague de sa vie, probablement la plus grosse jamais ridée par une femme, il y a quelques jours à Nazaré, dans des conditions idéales. Tractée en jet-ski par l'Américain Garrett McNamara, légende vivante du surf de grosses vagues, la surfeuse de 29 ans est parvenue à trouver l’équilibre sur ce qu’elle qualifie de «une bombe».

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Si pour le moment, la hauteur de la vague n’a pas encore été officiellement homologuée, il est certain qu’elle fait une nouvelle fois partie de l’histoire. Le mythique spot situé au Portugal réussit bien à la championne qui avait déjà surfé le 11 février dernier un monstre de plus de 21 mètres.

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"C’est le contact avec l’océan que j’aime"

La championne originaire de Lacanau est l’une des seules femmes à prendre de tels risques sur l’eau. «Tout est PLUS : on va plus vite, la vague est plus puissante, les émotions plus intenses, les risques plus présents. L’important est de s’y préparer correctement», avait-elle confié à Paris Match en 2017 . «Au Portugal, à Nazaré, chaque vague est une personne particulière. Avec tout un travail d’analyse, je dois pouvoir les anticiper, les appréhender, les dompter. Je dois me poser la question à chaque fois : "est-ce que je me sens capable et solide pour y aller ?" »

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Seule dans ces rouleaux de plusieurs mètres, «tu as vraiment l’impression de vivre, d’en apprendre sur toi», avait-elle confié dans un autre portrait qui lui était consacré . «C’est pour ça que j’ai commencé le surf, pour la liberté et cette connexion avec la nature qui est dingue. Je suis une "water-woman", c’est le contact avec l’océan que j’aime, que je sois dans un lycra pendant 25 minutes en compétition, dans une grosse vague à Nazaré, ou dans un tube à Hossegor».

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